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Caroline Gagné est doctorante à l'Université Laval.

Dominic Gagné s’est exilé à la fin 2012 à St-Louis-de-Gonzague (Les Etchemins), petit village de 400 habitants, pour se consacrer à l’écriture. Il a publié trois recueils de poésie dont Ce beau désordre de l’être et L’intimité du désastre aux Éditions de l’Hexagone. Il a collaboré à plusieurs revues littéraires, tant au Canada qu’à l’étranger, et a présenté un spectacle de poésie multimédia intitulé elle, parfois. Il s’est mérité, en 2011, le 2e Prix littéraire Radio-Canada, catégorie poésie.

On peut lire ses «Carnets de résonance», journal d’écriture et de lecture, dans les pages de la revue Estuaire.

Alejandra, parfois (Triptyque, 2013) est son dernier recueil de poèmes.

Gilles Gagné a fait des études de sociologie à l'UQAM et à l'Université de Montréal et il est professeur de sociologie à l'Université Laval à Québec. Il s'intéresse aux formes de régulation de la pratique sociale, à l'éducation et à la société québécoise et il a publié des recherches et des essais sur ces thèmes. Il est membre du Groupe interuniversitaire d'étude de la postmodernité. 

Laurence Gagné vient de Carleton-sur-Mer et vit à Montréal, où elle pratique la poésie. Elle a participé à plusieurs lectures publiques et a notamment publié dans les revues Mœbius et Exit. Ses textes sont chaotiques et haletants, portés par un humour noir salvateur. En 2018, elle est lauréate du premier Prix de poésie Geneviève-Amyot. Les jardins de linge sale est son premier livre.

 

© Clara Lamy

Alain Gagnon est né au Lac-Saint-Jean en 1943 et est mort au Saguenay en 2017. Il a publié près d’une quarantaine de livres de fiction et de poésie. Gloomy Sunday est un recueil de nouvelles inédit, dernière pierre angulaire du cycle de l’Euxémie.

Gabriel Gagnon, né à Mont-Joli en 1935, a enseigné l’anthropologie puis la sociologie à l’Université de Montréal jusqu’en 2000, effectuant aussi des séjours d’enseignement et de recherche au Sénégal, en Tunisie, à Cuba, à Oxford, à Aix-en-Provence, à San Diego, à Temuco et aux Îles de la Madeleine. Ces travaux ont porté surtout sur le développement, l’autogestion, les mouvements sociaux et l’épistémologie des sciences humaines. Après avoir été membre du Comité de rédaction de Parti pris, il a fondé, en 1976, avec Roland Giguère, Gaston Miron, Gérald Godin, Gilles Hénault et Marcel Rioux, la revue Possibles qui célébrait son 40e anniversaire en 2016.

Il a publié plusieurs ouvrages, dont Québec 1960-80 : La crise du développement (Hurtubise HMH, 1973 ) avec Luc Martin et Au cœur des possibles (Écosociété, 1995).

 

 

Marie-Noëlle Gagnon vit à Montréal. Détentrice d'une maîtrise en études littéraires, elle a voyagé sur tous les continents et fait aujourd'hui du journalisme et de l'édition. Elle aime la photographie, la musique, le cinéma et… l'écriture. Elle signe cet automne (octobre 2009) son premier roman, L'hiver retrouvé.

Rémy Gagnon est né à Arvida en 1966. Il est professeur de philosophie au Cégep de Victoriaville. Ses recherches actuelles portent sur les origines et les transformations du récit philosophique occidental. Il est notamment l’auteur de Phénoménologie de l’individualité (L’Harmattan, 2013).

 

Samuel Gagnon est né à Québec. Il a étudié la littérature au Québec et en France. Il est l’auteur d’un mémoire de littérature comparée intitulé « Réjean Ducharme, un écrivain de la résistance à la disparition de soi ». Rien est son premier roman.

Sébastien Gagnon est né en 1976. Il a publié des textes en revues (Biscuit chinois, La Bonante, Le Sabord) et a reçu des distinctions littéraires, dont le Prix Damase-Potvin. Il a publié un premier roman pour la jeunesse, Je ne suis pas une outarde (Bayard, 2021). 

© Patrick Simard

Caroline Garand est chercheure postdoctorale à l'Université d'Oxford où elle poursuit des recherches portant sur l'utilisation de la figure du Marquis de Sade dans la fiction contemporaine. Sa thèse de doctorat, consacrée à la signification du monologue dans l'œuvre dramaturgique de Jean-Pierre Ronfard, a été publiée sous le titre L'itinéraire concentrique de Jean-Pierre Ronfard aux Éditions Nota bene.

Dominique Garand est professeur titulaire au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. 

Flavia Garcia est professeure, poète, traductrice et interprète de tango. Née à Buenos Aires, en Argentine, elle s’établit au Québec en 1987. Elle a poursuivi des études supérieures en didactique des langues et en littérature. Plusieurs de ses poèmes, ainsi que ses traductions en français de poètes hispanophones, ont été publiés dans les revues Estuaire, Exit et Brèves littéraires. Elle anime avec Hugh Hazelton les soirées de poésie LAPALABRAVA. Depuis 2009, elle fait partie, en tant qu’interprète et parolière, de la formation de tango argentin El Trio Argentino et Flavia Garcia, dirigée par le pianiste et compositeur José María Gianelli. Son premier recueil de poèmes, Partir ou mourir un peu plus loin, a paru aux Éditions Mémoire d’encrier en 2016.

En plus d'être un fonctionnaire de la Ville de Québec, François-Xavier Garneau (1809-1866) était un historien, un notaire et un poète. 

Gérald Gaudet est poète, essayiste et intervieweur littéraire. Sa fiction poétique La fiction de l’âme (1995) a été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général. Son recueil d’entretiens Parlons de nuit, de fureur et de poésie (2021) s’est mérité le Prix de littérature Gérald-Godin et le Prix Arts Excellence de Culture Mauricie. Il est membre du comité de rédation de la revue Les écrits et est président de l’Académie des lettres du Québec.
 
 
© Umar Timol

Lauréat du Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton du Conseil des Arts du Canada, pour mi-carrière.

Psychanalyste, diplômé de philosophie et de psychopathologie clinique, Philippe Gaulin a été chargé de cours à l’Université de Sherbrooke de 1985 à 2001. De 1990 à 2003, il a occupé diverses fonctions dans le domaine de la recherche clinique, épidémiologique et psychosociale. Il vit sur l’île de Montréal et, depuis 2003, il consacre la majeure partie de son temps à la clinique et à l’écriture.

Il a déjà publié plusieurs essais aux éditions Triptyque, dont Le culte technomédical (2003), Traiter, cent ans après la psychanalyse de Freud, dans une société technomédicale (2006) et Freud et l'affaire de l'inconscient (2010).

Mona Gauthier est détentrice d’un doctorat en littérature et psychanalyse de l’Université de Montréal. Elle est psychanalyste et a enseigné aux universités d’Ottawa et de Carleton. Elle est l’auteure de plusieurs livres savants dont La jouissance prise aux mots (L’Harmattan). Paroles de mère est son premier essai libre.

© Marc Melillo

Stéphanie Gauthier a fondé en 2011 la troupe de théâtre Francs-Jeux. Dramaturge et auteure de fiction, elle a écrit plusieurs pièces de théâtre, dont Le choix et 19 jours entre parenthèses, qui lui ont fait remporter le concours Création-Production-Théâtre. Dans la fiction, elle a publié le roman psychologique L’effet domino (Éditions de Mortagne, 2009) et Une fille trop curieuse.

Lise Gauvin est écrivaine et professeure émérite au Département des littératures de langue française à l’Université de Montréal.

 

©Annie Ethier

Alexandre Gefen, professeur agrégé, est le fondateur et le codirecteur du groupe de recherche Fabula. Membre du Centre de recherche sur les modernités littéraires de l'Université de Bordeaux III et chargé de recherche au Centre d’Étude de la Langue et de la Littérature Française (Paris IV-Sorbonne), ses travaux ont pour objet la théorie de la fiction, et en particulier les questions des genres littéraires, de la littérarité et de la représentation. Il a également publié sur la littérature des XIXe et XXe siècles (Balzac, Chateaubriand et Schwob, notamment).

Né en 1925 et mort dans l’oubli en 2009, Pierre Gélinas, identifié par Michelle Tisseyre « comme une des gloires du journalisme » (Photo-Journal, 1959) avait précédemment publié Les vivants, les morts et les autres (1959). L’or des Indes s’est mérité le prix du Grand jury des lettres en 1963.

Jean Philippe Gendron est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire à l'Université du Québec à Montréal sur l'institutionnalisation des pratiques médicales entourant l'obésité. Il est aussi membre étudiant du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST).

Professeur au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal, Bertrand Gervais est le directeur du centre de recherche Figura, du Laboratoire NT2, de l'équipe de recherche ERIC LINT, ainsi que du Lower Manhattan Project. Il a publié romans, récits et nouvelles, de même que des essais sur la lecture, la littérature américaine et l'imaginaire. 

Madeleine Ghys se passionne pour les arts visuels, l’architecture et la photographie. Elle a le bonheur de partager cet intérêt avec ses étudiants en Histoire de l’art. En théorie et en pratique, ses recherches l’amènent à tisser des liens entre les mots, les lieux et les images qu’on peut en faire. Certaines livres en rendent compte, dont : Reliquaire et Un autre jour. Récit de voyage sur les bancs publics.

Marina Girardin enseigne la littérature au Cégep Édouard-Monpetit.

Robert Giroux a été professeur de littérature moderne à l’Université de Sherbrooke (1972-1997) et directeur des Éditions Triptyque et de la revue Mœbius (1980-2016). Passionné de musique et de chant choral, il a aussi beaucoup travaillé sur la chanson francophone. Quatre de ses recueils ont été traduits en anglais par Antonio D’Alfonso et réunis en un seul volume aux Éditions Ekstasis sous le titre : Toward the Rising Sun. Les ombres passantes est son dixième recueil de poésie.

 

Anthony Glinoer est professeur au Département des lettres et communications de l'Université de Sherbrooke. Il est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l'histoire de l'édition et la sociologie du littéraire. 

Pierre Gobeil s'est mérité le Grand Prix du livre de Montréal pour Dessins et cartes du territoire en 1993. Après La mort de Marlon Brando et La cloche de verre, Le jardin de Peter Pan est son troisième ouvrage publié aux Éditions Triptyque.

François Godin est poète et professeur de littérature au cégep Édouard-Montpetit. Il est originaire de Grand-Mère. Il a publié La victoire jamais obtenue en 2011 (Écrits des Forges), La chambre aux quatre vents en 2014 (l’Hexagone) et Habiter est une blessure en 2017 (Le lézard amoureux) ainsi que divers poèmes en revues. Il a été finaliste au Prix du récit Radio-Canada 2012.

Louis-Daniel Godin est professeur au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal et membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Privilégiant une approche psychanalytique dans ses recherches, il s’intéresse notamment aux fonctions du nom propre au sein d’oeuvres littéraires québécoises contemporaines. Il collabore régulièrement au cahier critique des revues Liberté et Spirale. Récemment, il a codirigé avec Michel Nareau un dossier de la revue Voix et images consacré à l’oeuvre de Lise Tremblay et fait parraître un essai intitulé Les père-mutations. La paternité en question chez Hervé Bouchard et Michael Delisle (Presses de l’Université de Montréal, 2021).

Éléonore Goldberg réalise des films d’animation et publie de la bande dessinée. Elle enseigne aussi le dessin.

Elle présente ses courts-métrages animés dans de nombreux festivals internationaux. Elle a illustré le roman graphique La Demoiselle en blanc (2016), publié aux Éditions Mécanique générale. Après avoir réalisé Errance (2013), Le cinéaste (2013) et Mon Yiddish Papi (2017), Éléonore travaille actuellement sur un nouveau court-métrage animé, Kinshasa, avec Embuscade Films. Maisons fauves est son premier roman et a été finaliste aux Prix du Gouverneur général 2019, catégorie romans.

 

Alizée Goulet habite près d’un lac où elle va chaque jour consoler le réel. Elle détient un baccalauréat en études littéraires ainsi qu’une maîtrise en création littéraire (UQAM). Elle a publié des poèmes et des nouvelles en revue et dans des ouvrages collectifs. Ennuagée est son premier livre. 

Crédit photo : Mélissa Vaiti

Edgard Gousse est professeur, chercheur et écrivain. Plusieurs fois membre de jurys littéraires, il a vécu une vingtaine d’années à Montréal et séjourné à Cuba ainsi que dans plusieurs autres pays de l’Amérique latine. Il a publié roman, essai et poésie, à Montréal, à La Havane et à Santiago de Cuba. Il a été de 1992 à 1999 directeur de Ruptures, revue littéraire multilingue des Trois Amériques éditée à Montréal. Vice-président du Festival international de poésie de Santiago de Cuba de 1993 à 2000 et récipiendaire (1995) de la Médaille José Maria de Heredia décernée par l’Union des écrivains et artistes de Cuba.

Florian Grandena (il/lui) est professeur agrégé et enseigne principalement les études cinématographiques au Département de communication de l’Université d’Ottawa. Avec Cristina Johnston, il est le coauteur de Cinematic Queerness et de New Queer Images (Peter Lang, 2011). Il est aussi l’auteur de Showing the World to the World (Cambridge Scholars Publishing, 2008) et de nombreux articles scientifiques sur le cinéma queer international. 

Crédit photo: Éric Mathieu

Titulaire d’un doctorat en sémiologie (2008, UQAM), Émilie Granjon est chercheure en sémiologie visuelle et commissaire d’exposition indépendante (L’art imprimé : entre mixité et hybridité, Mexique, 2015-2016 ; Espace imprimé, espace ouvert, Montréal, 2016). Dans ses écrits, elle analyse les enjeux culturels de l’art par l’étude des figures insolites, en peinture et en sculpture, de la Haute Renaissance à l’art actuel. Elle dirige le centre d’artistes autogéré montréalais CIRCA art actuel.

Iris Grondin est née à Montréal en 1988. Elle a grandi à la campagne : ses meilleurs paysages incluent de l’eau, des roches et du vivant. Sa grand-mère maternelle, passionnée d’art et d’avant-garde – et dont la propre mère, madame Gagnon, est peinte par Borduas –, lui donne accès aux livres annotés par son frère disparu. C’est ainsi qu’Iris s’initie pendant ses études aux canons de la littérature française et québécoise. Formée en lettres et en études féministes, elle a publié quelques poèmes en revue (Contre-jour, Estuaire). Elle travaille auprès de familles dont au moins un enfant est polyhandicapé.

© Sarah Rouleau

Agrégée de Lettres modernes, docteure en littérature et civilisation françaises, Karine Gros enseigne à l’Université de Paris 12-IUFM de Créteil.

Hervé Guay enseigne au Département de lettres et communication sociale de l'Université du Québec à Trois-Rivières. En 2010, il a publié L'éveil culturel. Théâtre et presse à Montréal 1898-1914 aux Presses de l'Université de Montréal. Président de la Société québécoise d'études théâtrales depuis 2011, Hervé Guay est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoise. 

Après des études en lettres à l’Université de Montréal où il obtient un diplôme de maîtrise en création littéraire en 1978, Daniel Guénette enseigne la littérature au niveau collégial. Durant une dizaine d’années, il collabore à diverses revues en tant que critique littéraire et poète. Lorsqu’il prend sa retraite à l’aube de ses soixante ans, il renoue avec l’écriture. Il produit des ouvrages de poésie (Traité de l’Incertain, Carmen quadratum, Varia et La châtaigneraie), un récit (L’école des chiens) ainsi que trois romans (Miron, Breton et le mythomane, Dédé blanc-bec et Vierge folle). On peut lire ses billets littéraires sur le blogue de Dédé blanc-bec.

Crédit photo: Collection personnelle

Lucie Guillemette est professeure au Département de lettres et communication sociale à l'Université du Québec à Trois-Rivières.

Hélène Guy est professeure à l’Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse à l’écriture sous toutes ses formes. Depuis longtemps elle anime des ateliers d’écriture partout au Québec.

Professeure de littérature française et francophone à la Faculté des Lettres de l’Université de Timisoara (Roumanie), Margareta Gyurcsik est la fondatrice et directrice du Centre d’Études francophones de l’Université de Timisoara. Elle est aussi la rédactrice en chef de la revue Dialogues francophones qu’elle a d’ailleurs fondée.