Auteur·rices

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Rachida M’Faddel, écrivaine et conférencière, vit au Québec, à Montréal depuis 2000. Elle a participé à trois collectifs : Femmes et identités (2014), Arabitudes. L’altérité arabe au Québec (2010) et Figures, représentations et stratégies (2015), a coécrit un essai avec Alexandra Impériale et Françoise Saint-Gelais, Regards croisés, paroles de femmes : trois générations, trois religions (2012) et a codirigé avec Céline Larouche Lettres aux femmes d’ici et d’ailleurs (2017). Elle est aussi auteure de quatre romans :  Le destin d’Assia – Étrange Étrangère (2005 et réédité en 2019), Le mirage Canadien (2008), Résidence Séquoia (2018) et Ensemble, malgré tout ! (2019).

Auteure de La littérature pour la jeunesse au Québec (Boréal, 1994), Édith Madore est une des plus respectées spécialistes de littérature pour la jeunesse au Québec.
 

Lucie-Marie Magnan est professeure au Département de français du Cégep de Sainte-Foy. Avec Christian Morin, elle est l’auteure de Lectures du postmodernisme dans le roman québécois (Nuit blanche, 1997) et de 100 pièces du théâtre québécois qu’il faut lire et voir (Nota bene, 2002).

Thomas Mainguy a publié des critiques, des essais, des poèmes et des proses en revue. Il est membre du comité de rédaction des cahiers littéraires Contre-jour. Une suite de poèmes lui a permis de remporter en 2012 le Prix de poésie de Radio-Canada.

© Julie Faucher

Paul Mainville, scénariste et traducteur, est originaire de Québec et habite maintenant Terrebonne. Après des études en cinéma, dont une maîtrise en scénarisation, il obtient une aide de la SODEC pour écrire un premier long-métrage de fiction, Décembre.

Hangar n° 7, son premier livre, a d’abord été pensé pour le cinéma, puis réécrit sous forme de roman.

Essayiste réputé et auteur, entre autres livres, de Jean Rivard ou l'art de réussir. Idéologies et utopie dans l'oeuvre d'Antoine Gérin-Lajoie (1991) et Convoyages. Essais critiques (1999), Robert Major est vice-recteur émérite aux études à l’Université d’Ottawa.

Michel Malette est né en 1948 à Lachute, au Québec. Diplômé en sciences sociales, il fait ensuite des études de maîtrise en science politique et en philosophie. Après avoir été fonctionnaire, puis travailleur communautaire, il enseigne le français dans un collège à Montréal. Il a publié plusieurs articles au journal Le Devoir ainsi que dans des revues au Québec (La petite revue de philosophie, notamment) et en France (Futuribles, L’art du comprendre et Mettray).

Pierre Manseau est né en 1953 à L'Islet-sur-Mer, dans la région de Chaudière-Appalaches. Il a fait paraître notamment L’île de l’adoration, La cour des miracles et Ragueneau le Sauvage. Les amis d’enfance est son huitième ouvrage. Tous ses livres sont parus aux Éditions Triptyque. Pierre Manseau est décédé à Montréal en 2009.

Lee Maracle, autochtone d’origine Stó:lō, née à North Vancouver en 1950, est l’autrice d’ouvrages acclamés. Elle a notamment été récompensée du Prix littéraire des Premiers Peuples du Festival Metropolis bleu et a été finaliste au prestigieux Prix Neustadt, aussi connu sous le nom de Nobel américain. Elle a été professeure au Centre for Indigenous Studies de l’Université de Toronto, où elle a enseigné la tradition orale. Elle est décédée en novembre 2021, à l’âge de soixante et onze ans.

© Columpa Bobb 

Dominic Marcil est professeur de littérature et poète. Il a écrit avec Hector Ruiz un essai paru aux éditions du Noroît, Lire la rue, marcher le poème (2016), ainsi qu’un recueil publié aux éditions Triptyque, Taverne nationale (2019). Chez ce même éditeur, il a également participé au collectif Délier les lieux (2018). En plus du processus créateur et de sa place dans l’enseignement, il s’intéresse aux rapports entre écriture et territoire. Il est membre de La Traversée – Atelier de géopoétique. Il vit et travaille à Granby.

© Rizlane Abdessamad
 

Essayiste réputé et auteur, entre autres livres, de L’amateur de musique (Boréal, 1991), Le lecteur de poèmes (Boréal, 2000) et La littérature est inutile (Boréal, 2009), Gilles Marcotte est professeur émérite du Département des littératures de langue française à l’Université de Montréal.

Hélène Marcotte est directrice du Département de lettres et communication sociale à l'Université du Québec à Trois-Rivières, où elle enseigne aussi la littérature. 

Maël Maréchal est écrivain·e, chargé·e de cours en études littéraires et féministes et chercheur·e à Tiohtiá:ke (Montréal). Iel s'intéresse aux littératures lesbiennes et queer, à l'enfance et à l'intersection classe sociale, genre et blanchité. Maël a publié La Minotaure, premier livre de la collection Queer chez Triptyque, en 2019. Cet ouvrage de fiction a été finaliste au Prix du Gouverneur général la même année.

Marie-Eve Desmarais, originaire de Sept-Îles, réside à Tiohtià:ke/Montréal. À 23 ans, elle reçoit les diagnostics de trouble de la personnalité limite sévère et de trouble bipolaire de type II. Stable depuis plusieurs années, elle partage son cheminement vers la réhabilitation et s’attaque aux préjugés qui entourent la santé mentale. Juriste de formation, elle a étudié le droit et les études féministes à l’Université du Québec à Montréal, et évolue professionnellement dans le milieu des relations de travail. Elle signe ici sa première publication artistique.

© Simon Desmarais

Barbi Marković est née en 1980 à Belgrade et a étudié la littérature allemande à l’Université de Vienne. Elle est entrée sur la scène littéraire allemande en 2009 avec son roman Ausgehen, une adaptation de l’histoire de Thomas Bernhard, Marcher. Depuis, elle a publié de nombreuses nouvelles, pièces de théâtre et pièces sonores, pour lesquelles elle a reçu plusieurs bourses et prix prestigieux. Avec Superhéroïnes, son dernier roman, elle a remporté le prix littéraire Alpha 2016 ainsi que le Prix-Adelbert-von-Chamisso 2017.

 

© Aleksandra Pawloff

Louise Marois est née à Montréal en 1960. Son premier recueil, La peau des yeux, reçoit en 2004 le Prix Jacqueline-Déry-Mochon. La cuisine mortuaire et D’une caresse patentée sont finalistes au Prix littéraires du gouverneur général – catégorie Poésie en 2019 et 2020. Aujourd’hui elle se consacre entièrement à l’art et l’écriture.
 

© Grant Siméon

Poète, romancier, essayiste, André Marquis enseigne la communication écrite et la création littéraire à l’Université de Sherbrooke. Auteur du manuel plusieurs fois réédité Le style en friche. L’art de retravailler ses textes, il a publié six recueils de poésie, dont La surface agitée des eaux (mars 2015) et deux romans pour la jeunesse. On lui doit aussi une édition des poésies de Nelligan et, en collaboration, une anthologie des poètes des Cantons de l’Est ainsi qu’un ouvrage de vulgarisation sur les ateliers d’écriture (lequel lui a valu le Grand Prix littéraire de la ville de Sherbrooke).
 

Jean-Sébastien Marsan est journaliste et rédacteur indépendant à Montréal. Il est l’auteur de Devenir son propre patron ? Mythes et réalités du nouveau travail autonome (Écosociété, 2001), de Les Québécois ne veulent plus draguer… et encore moins séduire (Éditions de l’Homme, 2009) et de Le petit Wazoo (Triptyque, 2010).
 

Essayiste et poète, Gilles Marsolais a fondé l'Association québécoise des critiques de cinéma en 1973. Avec VLB Éditeur, il a aussi créé et dirigé la collection et les Éditions Le Cinématographe (1975-1979). Toujours actif dans le domaine de la critique de cinéma, il est maintenant membre du comité de rédaction de la revue 24 images.
Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, dont L'Aventure du cinéma direct revisité (400 coups,1997), qui lui a valu le Prix de la Société des écrivains de cinéma et de télévision à Cannes (1975), ouvrage encore considéré comme une référence dans son domaine. Il a aussi publié, aux éditions Triptyque, Le Film sur l'art, l'art et le cinéma (2005) et, dernièrement, Cinéma québécois. De l'artisanat à l'industrie (2011).

Guylaine Martel est professeure de communication publique au Département d'information et de communication de l'Université Laval (Québec). Analyste du discours et de la conversation, spécialisée en rhétorique du discours oral spontané, elle s'intéresse plus spécifiquement à la performance communicationnelle dans la production médiatique.

Jacinthe Martel est professeure au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal et membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Elle a surtout publié dans les domaines de l'édition critique et de la génétique.

Née en Haïti, Stéphane Martelly écrit de la poésie. Quelquefois, cette écriture prend la forme de la traduction. Elle enseigne à l’Université de Sherbrooke. Ses œuvres comprennent un essai en recherche-création, Les jeux du dissemblable (Nota bene, 2016), de la poésie, Inventaires (Triptyque, 2016), et plusieurs fables illustrées.

Sa plus récente publication: le recueil de poésie Inventaires (Triptyque, 2016).

Sa plus récente traduction: le recueil de poésie Équateur magnétique de Kaie Kellough (Triptyque, 2023).

Crédit photo: Clovis-Alexandre Desvarieux

Éric Martin est docteur en pensée politique de l'Université d'Ottawa et professeur au Département de philosophie du Cégep Édouard-Montpetit. Il est également membre du Groupe interuniversitaire d'études de la postmodernité (GIEP/Collectif SOCIÉTÉ et coauteur de l'ouvrage Université inc. (LUX, 2011).

Raymond Martin, l'un des trois fondateurs de Triptyque et de Mœbius en 1977, y occupe aujourd'hui encore des fonctions majeures d'infographiste. Il est l'auteur de deux recueils de poésie: indigences (1983) et Qu'en carapaces de mes propres ailes (1987), publiés chez Triptyque.

→ Écrire à Raymond Martin: rmartin@editiontriptyque.com

Jacques Martineau a enseigné la littérature au Cégep de Sainte-Foy.

Guylaine Massoutre a étudié et enseigné les littératures française et québécoise à Paris et à Montréal. Elle a reçu le prix Raymond-Klibansky pour Hubert Aquin. Point de fuite (BQ, 1995) et le prix Spirale–Eva-Le-Grand, pour L’atelier du danseur (Fides, 2004). Elle a été publiée entre autres chez Fides et au Noroît, où est paru Pavane. Danse, écriture et création en 2017.
 
©Valérie Lebrun

Catherine Mavrikakis est écrivaine et professeure de littérature à l’Université de Montréal. Elle est l’auteure de plusieurs romans, dont le remarqué Ciel de Bay City (Héliotrope, 2008), Prix Littéraire des collégiens et Prix des libraires du Québec.

Nicolas Mavrikakis est critique d’art. Il sévit actuellement dans le journal Le Devoir après avoir écrit dans Voir Montréal (1998-2013). Il a aussi écrit de nombreux textes pour des revues canadiennes, et il a été membre des comités de rédaction de trois d’entre elles (Spirale, ETC et Espace). Mavrikakis est également commissaire indépendant. En 2016-2017, il a organisé la rétrospective de l’artiste Pierre Ayot dans six lieux à Montréal, rétrospective durant laquelle, avec Marthe Carrier, il a recréé La croix du mont Royal, oeuvre phare de Corridart en 1976. Il a entre autres présenté la Biennale de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli (2014), Déclic 70 (2011-2013), Entreprise collective (2011), Artefact Montréal (2007), le 25e Symposium d’art contemporain de Baie-Saint-Paul (2007) et Comment devenir artiste (2005). Il a aussi commissarié des expositions de Thierry Marceau, Alana Riley, Marie-Claude Bouthillier, Mathieu Lefèvre, Rachel Monosov, Massimo Guerrera (The Invisible Dog Art Center à Brooklyn). En plus de ces activités, il enseigne l’histoire de l’art et la littérature française, mais a aussi professé l’histoire du cinéma, l’histoire de la danse, les arts et les communications. En tant qu’artiste, il a réalisé plusieurs documentaires sur l’art et a conçu des expositions à la Galerie Joyce Yahouda. En 2015, il a publié le livre La peur de l’image (Éditions Varia). En 2017, il a écrit la biographie de Pierre Théberge, directeur du Musée des beaux-arts de Montréal et du Musée des beaux-arts du Canada.
 

Jérémie McEwen est essayiste (Philosophie du hip-hop, Avant je criais fort), chroniqueur (Radio-Canada, Clin d’œil) et professeur de philosophie au collégial. Il se consacre maintenant de plus en plus à la réflexion publique, dans une volonté de redéfinition de la géographie intellectuelle du Québec. Il défend ainsi un multiculturalisme francophone québécois, et refuse de penser l’identité dans la nostalgie. 

 

© Julie Artacho

Éric Méchoulan a été professeur de littérature à l’Université de Montréal jusqu’en 2021. Ses recherches portent entre autres objets sur les moralistes, sur l’histoire matérielle des idées et sur le temps qui passe et il travaille, dans un aller-retour entre philosophie et histoire, à mieux comprendre l’institution de l’esthétique et, en particulier, de ce que nous nommons « littérature ». Il a publié chez Nota bene Le crépuscule des intellectuels (2005), Dilapidaire, suivi de Les pierres parlent (2006), La crise du discours économique (2011) et Mères de lecture. Histoire d’un récit hassidique (2023). Mères de lecture fait partie de la Sélection pour le Prix Spirale Eva-Le-Grand 2024.

© Canal U

Benoît Melançon est professeur titulaire au Département d'études françaises de l'Université de Montréal et directeur scientifique des Presses de la même université. Outre de nombreux travaux sur la littérature française du XVIIIe siècle (Diderot épistolier, 1996), il a publié un Dictionnaire québécois instantané (Fides, 2004), en collaboration avec Pierre Popovic.

Joseph Melançon est professeur émérite de l'Université Laval (Québec). Membre fondateur du Centre de recherche en littérature québécoise (CRELIQ), il a été également titulaire de la Chaire pour le développement de la recherche sur la culture d’expression française en Amérique du Nord (CEFAN). Il est membre de la Société royale du Canada.

© Éditions Guernica

Mary Melfi a publié un premier recueil de poésie en 1976 et, depuis, plus d’une douzaine d’ouvrages: roman, théâtre, essai, récit, poésie et contes pour enfants. Sensible aux inégalités sociales et aux relations entre les femmes et les hommes, elle explore plus largement ce qu’on entend par «être», dans une langue dépouillée d’artifices où la ponctuation se charge de sens, et l’humour d’une pointe d’ironie et d’autodérision. Elle vit à Montréal.

Son récit autobiographique Italy Revisited. Conversations with My Mother (Guernica, 2009) a été traduit, par Claude Béland, sous le titre Là-bas, en Italie. Conversations avec ma mère.

Depuis toujours active dans le domaine des langues, de l’écriture et des communications, Claude Béland est rédactrice et traductrice. Du récit au manuel pédagogique, elle a traduit plusieurs ouvrages, et intervient également à titre de réviseure dans la traduction de romans.

 

Jean-Sébastien Ménard est professeur de littérature et de français au cégep Édouard-Montpetit.

Andrée Mercier est professeure au Département des littératures de l'Université Laval et directrice du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Ses travaux les plus récents portent sur la question de l'autorité narrative et des narrations problématiques dans le roman contemporain. 

Denise Merkle enseigne la traduction à l'Université de Moncton. 

Ginette Michaud est professeure au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal. Elle est l’auteure de plusieurs essais consacrés à Roland Barthes, James Joyce et Jacques Ferron. Parmi ses récents ouvrages : Veilleuses. Autour de trois images de Jacques Derrida (Éditions Nota bene, 2009) ; le Cahier de L’Herne. Derrida (Éditions de L’Herne, 2004) ; Tenir au secret (Derrida, Blanchot) (Galilée, 2006) ; et le catalogue Trop. Jean-Luc Nancy, avec François Martin et Rodolphe Burger (Galerie de l’UQAM, 2006). Membre du Comité éditorial chargé de l’édition du Séminaire de Jacques Derrida, elle a préparé, avec Michel Lisse et Marie-Louise Mallet, l’édition du premier volume qui paraissait à l’automne 2008 aux éditions Galilée : Séminaire La bête et le souverain, volume i, 2001-2002. 

SARA DANIÈLE MICHAUD vit à Montréal et enseigne la littérature au collégial. Elle détient un doctorat en littérature comparée de l’Université de Montréal et un postdoctorat de l’Université de Toronto. Elle s’est intéressée aux questions du sacré, dans un monde où on n’en retrouve plus que les traces, et à celle de la conversion à travers l’écriture. Elle a publié des essais académiques fondés sur ses recherches: Écrire. Se convertir (éditions Hashtag, 2018), ainsi que Cioran ou les vestiges du sacré dans l’écriture (éditions XYZ, 2013). 

Crédit photo: Frédéric Caron-Tremblay

Pascal Michelucci enseigne en lettres modernes au Département d'études langagières de l'Université de Toronto. Il est aussi affilié au Département de culture, communication et technologies de l'information, où il enseigne les théories de la communication et la sémiologie. 

Eftihia Mihelakis, originaire de Montréal, est professeure de littérature et d’études féministes à la Brandon University, au Manitoba. Elle a fait paraître La virginité en question, ou les jeunes filles sans âge en 2017 (Les Presses de l’université de Montréal) et l’essai-dialogue J’enseigne depuis toujours en 2020 (Éditions Notabene) avec Catherine Mavrikakis, Jérémie McEwen et Josianne Poirier. Ses textes de fiction et ses essais sont parus dans MuseMedusa, Spirale, Liberté et Françoise Stéréo et dans l'ouvrage 11 brefs essais sur la beauté (Somme toute, 2021).

Crédit photo: Félix Boissonneault

Professeure au Département d’études littéraires de l’UQAM, Isabelle Miron a publié trois recueils de poésie au Noroît et aux Éditions Trois ; elle a également dirigé, avec Pierre Nepveu, le collectif Relire Juan Garcia (Nota Bene, 2006).

Professeur émérite de l'Université Laval, Clément Moisan est membre de la Société Royale du Canada (1980), membre honoraire du Centre de Recherche Interuniversitaire sur la Littérature et la Culture Québécoise (CRILCQ) et conseiller scientifique au Fonds Québécois de Recherche sur la Société et la Culture (FQRSC). Il est l'auteur de Qu'est-ce que l'histoire littéraire?  (Collection Littératures modernes, 1987), et de L'histoire littéraire (Collection « Que sais-je » 1990, 1996) parus aux Presses Universitaires de France et co-auteur avec Renate Hildebrand de Ces étrangers du dedans (Nota Bene, 2001).

Claudine Moïse est maître de conférences à l’Université d’Avignon en sciences du langage.

Née au Salvador et ayant passé son enfance à México, Vanessa Molina est doctorante en science politique à l’Université d’Ottawa et membre du GRIPAL.

Ines Molinaro is Director of the Liberal Arts Programme and Coordinator of Senior Courses at St Clare's, Oxford. Born in Montréal, she earned her post-graduate degrees in politics at the University of Notre Dame (Indiana) and taught political science at the Universities of Birmingham, Warwick and Cambridge (1996-2003). In Cambridge, she was the Fellow in Canadian Studies in the Faculty of Social and Political Sciences (SPS), and the Director of Studies for SPS at Gonville and Caius College and Lucy Cavendish College.

Professeur d'histoire contemporaine et directeur du Centre d'histoire culturelle des sociétés contemporaines à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, Jean-Yves Mollier travaille depuis des année sur le monde du livre, de l'édition et de la lecture.

Sociologue de formation, André Mondoux est professeur à l'École des médias de la Faculté de communication de l'Université du Québec à Montréal. Membre du Groupe de recherche interdisciplinaire sur la communication, l'information et la société (GRICIS), il dirige également des recherches portant sur la banalisation de la surveillancec et les médias socionumériques. 

Madeleine Monette est originaire de Montréal et vit à New York. Elle est l'auteure des romans Le Double suspect (Prix Robert-Cliche), Petites Violences, Amandes et Melon, La Femme furieuse et Les Rouleurs, repris à Paris puis à Montréal sous le titre Skatepark. Un recueil de poésie, Ciel à outrances, est paru en 2013. Il a inspiré une expérience sonore immersive de Brigitte Poupart présentée au Centre PHI à Montréal. Des livres d'artiste, dont La mer, au feu / A Sea Fire repris sous format grand public, font partie de la Collection patrimoniale de BAnQ. Plusieurs textes sont parus dans des publications littéraires au Québec et à l’étranger. Nominée pour des prix littéraires aux États-Unis, en France et au Québec, elle est membre de l'Académie des lettres du Québec et du Parlement des écrivaines francophones depuis sa fondation en 2018.

© Simon Jutras

© Julie Corbeil

Écrivain et conférencier pour les Grands explorateurs, Ugo Monticone a publié huit livres, dont cinq récits de voyage. Son roman U (2008) s'est retrouvé parmi les finalistes du Grand Prix littéraire Archambault 2009. Sa ciné-conférence Grands explorateurs – Japon, de l'hiver 2013, a été présentée devant plus de 35 000 spectateurs. Il prépare actuellement une présentation sur le Guatemala qui sera à l'affiche de janvier à mars 2016 dans tout l'est du Canada. Le vendeur de goyaves, son plus récent roman inspiré d'un voyage en Inde, est publié chez Triptyque à l'hiver 2015.

Marie-Hélène Montpetit est l’auteure de deux recueils de poésie publiés chez Triptyque : Dans le tabou des arbres et 40 singes-rubis. Elle a piloté en 2009 le numéro 123 de la revue Mœbius , « Filiation & transmission ». On a pu lire de ses textes dans les revues Estuaire, Mœbius, Exit et Art le Sabord. Elle a participé à plusieurs événements culturels, tel que le FIL, le Off-festival de jazz de Montréal, le Festival international de la poésie de Trois-Rivières et le Marché de la poésie de Montréal. Son plus récent recueil de poésie, Le cœur sauvage de mon nom, est publié en février 2015.

Ludvic-Moquin Beaudry enseigne la philosophie au Cégep de Saint-Jérôme. Il a suivi une formation en philosophie et en études allemandes et européennes à l’Université de Montréal, et a effectué un séjour de recherche à l’Université de Francfort. Militant politique, il intervient dans le cadre d’émissions comme Médium large et collabore à différentes revues, dont Argument et Ricochet.

François Moreau, né à Montréal, s'embarque dès l'adolescence pour n'importe où, à bord d'un petit cargo. À 19 ans, il est correspondant à Paris pour une agence de presse française. Il a vécu en Europe pendant 40 ans, notamment à l'île de Man, dans la mer d'Irlande. Son premier livre a été publié à Monaco avant sa vingtième année. Ont suivi une pièce de théâtre, Les taupes, montée par Jean-Louis Roux au TNM, et cinq romans dont Les écorchés et Gaston ou L'apprentissage de l'assassinat. Il est revenu au Québec voici cinq ans.

Patrick Moreau est professeur de littérature au collège Ahuntsic, rédacteur en chef de la revue Argument et essayiste. La prose d'Alain Grandbois. Ou lire et relire Les voyages de Marco Polo a été finaliste aux Prix du Gouverneur général 2019, catégorie essais.

Catherine Morency est écrivaine et professeure. Elle est l’autrice des recueils Les impulsions orphelines, Sans Ouranos, Les musées de l'air et des essais Poétique de l'émergence et des commencements, Marie Chouinard chorégraphe, L’atelier de L’âge de la parole. Poétique du recueil chez Roland Giguère, La littérature par elle-même). Elle enseigne la création littéraire et littérature québécoise à l’Université du Québec à Chicoutimi. Son univers poétique sonde à la fois les zones les plus noires de nos âmes et les lieux où, à force de luttes, d’acharnement et de convictions, la lumière jaillit. 

Crédit photo: Marilyn Forgues

Jean Morency est professeur au Département d’études françaises de l’Université de Moncton. Son principal champ de recherche est la question de l’américanité de la littérature québécoise, à laquelle il a consacré un ouvrage intitulé Le mythe américain dans les fictions d'Amérique. De Washington Irving à Jacques Poulin (Québec, Nuit blanche éditeur, 1994), ainsi que de nombreux articles savants et chapitres d’ouvrages collectifs. Dans le cadre de la Chaire de recherche du Canada dont il a été titulaire de 2002 à 2011, il s’est aussi intéressé à la question des transferts culturels et à leurs répercussions dans les œuvres de plusieurs écrivains québécois, acadiens et franco-canadiens. Il travaille actuellement sur les romans de la franco-américanité.

Joanne Morency vit en Gaspésie. Elle a publié cinq titres aux éditions Triptyque.  Sa prose poétique Miettes de moi lui a valu à Paris en 2010 un Prix du premier recueil dans la francophonie. Elle recevait en 2015 le Prix de Poésie Radio-Canada pour sa suite Ni le nom des caresses en français, laquelle parait dans son plus récent livre Preuves d’existence (2019).

Caroline Moreno a étudié les arts plastiques, l'art dramatique et l'enseignement du français. Elle se passionne pour la photographie et l'écriture. Après quatre romans, dont Au non-plaisir de vous revoir publié chez Lanctôt Éditeur, Sans cérémonie est son cinquième livre.

Christian Morin est conseiller pédagogique au Cégep de Sainte-Foy où il a également enseigné la littérature au département de français. Avec Lucie-Marie Magnan, il est l’auteur de Lectures du postmodernisme dans le roman québécois (Nuit blanche, 1997) et de 100 pièces du théâtre québécois qu’il faut lire et voir (Nota bene, 2002).

Lucie K. Morisset, historienne d'architecture, est professeure au Département d'études urbaines et touristiques de l'Université du Québec à Montréal, chercheure au Centre interuniversitaire d'études sur les lettres, les arts et les traditions, chercheure associée à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain et membre de l'Institut du patrimoine (UQAM).

Philippe Mottet enseigne la littérature au Cégep Garneau (Québec) depuis 1997. En 2006, il a cofondé le Centre Aude pour l'étude de la nouvelle (CAEN).

Sociologue, Pierre Mouterde est un spécialiste de l’étude des mouvements sociaux en Amérique latine. Il mène en parallèle une réflexion philosophique sur le rôle de la gauche au XXIe siècle. Observateur attentif de la scène sociale et politique du Québec, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Les stratèges romantiques. Remédier aux désordres du monde contemporain (Écosociété, 2017) et, en collaboration avec Marcos Ancelovici, Stéphane Chalifour et Judith Trudeau, Une gauche en commun. Dialogue sur l’anarchisme et le socialisme (Écosociété, 2019).