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Filippo Palumbo est essayiste. Il a déjà publié Un thé avec le chapelier fou (Nota bene, 2018) et Saga gnostica (VLB, 2012). La danse de la guérison, son troisième livre, confirme un grand essayiste au style nerveux et puissant, hanté par une vision dantesque de notre monde pris d’une folie à laquelle il tente de trouver une forme de guérison par la folie elle-même.
 

Né à Montréal en 1819 et mort à Montebello en 1903, Amédée Papineau est un écrivain patriote, auteur du Journal d'un Fils de la Liberté.

Professeur au département d'histoire de l'Université Laval, Martin Pâquet œuvre en anthropologie historique et s'intéresse aux diverses manifestations de la culture politique au Québec et au Canada modernes. Ses travaux sur l'immigration et les politiques étatiques l'ont amené à étudier aussi l'influence de la pensée scientifique dans la prise de décision politique.

Docteur en études françaises, critique littéraire et professeur, Éric-Guy Paquin est né et vit à Montréal. Morgues est son premier recueil de poésie.
 

Jacques Paquin est professeur de littérature québécoise à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Responsable de la section « Poésie » du projet de Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec (1991-1995), il a aussi publié un ouvrage collectif (Nouveaux territoires de la poésie francophone — 1970-2000, Presses de l'Université d'Ottawa, 2012) ainsi qu'une anthologie (Science et poésie, Écrits des Forges, 2014). Il est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCCQ), où il dirige la collection « Prégnance ». Il est chroniqueur de poésie à Lettres québécoises.

François Paré est professeur titulaire et directeur du département d'études françaises à l'Université de Waterloo. Ses recherches portent sur les littératures minoritaires et diasporales au Canada et ailleurs en Amérique.

Anne Martine Parent est professeure agrégée en études littéraires au Département des arts et lettres de l’Université du Québec à Chicoutimi, membre du centre de recherche Figura sur le texte et l’imaginaire et du Réseau Québécois en Études Féministes (RéQEF). Ses recherches portent sur la littérature contemporaine et l’écriture des femmes, sur le témoignage littéraire ainsi que sur la représentation de la sexualité des femmes dans les séries télévisées. Elle est l’auteure d’un recueil de poésie, Je ne suis pas celle que vous croyez, paru à l’hiver 2016 aux éditions La Peuplade.

Olivier Parenteau est professeur de littérature au cégep de Saint-Laurent et chercheur affilié aux centres de recherche Figura (Centre de recherche sur le texte et l’imaginaire) et Crist (Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes).

Pascale Joubi est docteure en littératures de langue française diplômée de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur l’écriture, l’histoire et la représentation des femmes dans les littératures française et québécoise des périodes moderne et contemporaine. Elle s’intéresse plus particulièrement à la réécriture des mythes, aux gender studies et, plus récemment, aux théories et éthiques du care en littérature. Amazones modernes et contemporaines. Résistance, combat, pouvoir est son premier livre.

 

© Yannick Khong

Monique Patenaude partage sa vie entre Auroville et Montréal depuis 1974. Artiste peintre et passionnée de théâtre, elle signe ici son premier roman.

Janet M. Paterson est professeure de littérature québécoise au Département d’études françaises à l’Université de Toronto. Auteure de nombreuses publications, notamment Anne Hébert : architexture romanesque et Moments postmodernes dans le roman québécois, elle participe au comité de rédaction de la revue Voix et images et elle est membre de la Société royale du Canada.

D’origine polonaise, elle a étudié la littérature à l’Université McGill et enseigne aujourd’hui la littérature au Collège Édouard-Montpetit. Elle a illustré et publié des romans jeunesse, ainsi que des nouvelles dans Virages, Jet d’Encre, Art le Sabord et Mœbius.

Ses textes ont en commun de traiter des sentiments humains dans un rapport étroit, mystique ou métaphorique, avec la nature. La question identitaire est au cœur de son écriture.

Retour d’outre-mer est son premier roman.

Sarah-Louise Pelletier-Morin est née à Longueuil en 1993. Elle est actuellement candidate au doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Son mémoire portait sur la poésie de Michel Houellebecq et sa thèse, codirigée par Dominique Garand (UQAM) et Julie Paquette (Université Saint-Paul), se penche sur la politisation du théâtre au Québec. Ses recherches se consacrent à l’étude de trois polémiques théâtrales récentes (« L’affaire Cantat », « L’affaire SLÀV » et « L’affaire Kanata »). Elle organise les RDV_Art, Sciences et Politique à l'Usine C (cycle 2021-2022) et collabore à différentes revues québécoises en tant que poète, critique et essayiste.

Crédit photo: Le Petit Russe

Jacques Pelletier est professeur associé au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Il a publié plusieurs ouvrages sur les littératures québécoise et internationale ainsi que des essais polémiques sur des enjeux culturels et idéologiques qui interpellent notre société. Il fait partie des comités de rédaction des revues À bâbord! et Nouveaux Cahiers du socialisme. Il dirige les collections « Essais critiques » et « Interventions » aux Éditions Nota bene.

Il est né à Montréal au cours des années trente. À la suite de cinq années occupées à gagner sa vie par la pratique de métiers les plus divers et incongrus, il projette de devenir géographe. Ce souhait devient une réalité et plusieurs décennies se succèdent à arpenter et à nommer le pays. Survient toutefois un moment où, en rupture de ban avec l’ici, il prend une route crue définitive vers de lointaines contrées. Après des années à bourlinguer, il réintègre la ville qui l’a vu naître. Les choses ne sont plus comme avant. En dépit des apparences, le voici devenu un pur étranger…

Avant Ticket pour l'éternité (nouvelles, 2013), l’auteur a publié deux autres ouvrages chez Triptyque : La terre émue (récits, 1986) et Le diable au marais (contes, 1987).

Né en juin 1929 à Montréal, Pierre Perrault est mort le 29 juin 1999. Outre son œuvre cinématographique, il est aussi l’auteur d’une importante œuvre littéraire, qui lui a valu de nombreux prix : le prix du Grand Jury des lettres canadiennes (1961), le prix Ludger-Duvernay (1968) et le Prix du Gouverneur général à trois reprises (1963, 1975 et 1999). De plus, l’auteur a reçu deux doctorats honoris causa : un de l’Université Laval en 1986 et un de l’Université de Sherbrooke en 1997. Le gouvernement du Québec lui décerne le prix Albert-Tessier en 1994.

Pierre Petitclair est né à Saint-Augustin (Portneuf). Après avoir fréquenté l'école lancastrienne de Joseph-François Perrault, Pierre Petitclair fait des études au Petit Séminaire de Québec, puis gagne sa vie dans des greffes de Québec. Poète, musicien et dramaturge, il fait publier des textes et des partitions dans des périodiques et dans des livres. Il passe une grande partie de sa vie au Labrador et y meurt en 1860.

Sheila Petty est professeure d'études cinématographiques et doyenne des Arts visuels à l'Université de Regina.

Lucie Picard détient un doctorat de l’Université de Bologne (Italie). Ses travaux portent principalement sur la poésie québécoise, mais également sur le théâtre. Elle a collaboré à plusieurs revues comme L’Annuaire théâtral, Cahiers francophones d’Europe centre-orientale, Francofonia et Présence francophone. Elle a participé à des ouvrages collectifs parus chez les éditeurs Bulzoni (Turin) et L’Harmattan Italia (Turin).

Maude Pilon est née en 1983, autour de Montréal. Elle vit en Montérégie. Elle possède une formation en arts interdisciplinaires de l’Université Concordia, une autre en ethnologie de l’Université Laval, et elle poursuit actuellement des études littéraires à l’UQAM. Depuis dix ans, ses manifestations prennent la forme de performances, de lectures publiques et de publications principalement réalisées en contexte de résidences d’artiste et d’auteur. Elle a également publié des poèmes en revue.

Auteure de plusieurs livres, Marie-Christine Pioffet, professeure à l’Université York (Toronto), est spécialiste des textes de la Nouvelle-France et de la littérature française du XVIIe siècle. 

Lorraine Piroux est Associate Professor à l’Université de Rutgers (New Jersey). Spécialiste de littérature française du XVIIIsiècle, elle est l’auteure de Le livre en trompe l'œil ou le jeu de la dédicace. Montaigne, Scarron, Diderot (Éditions Kimé, 1998).

Romancière, essayiste et journaliste, Simone Piuze est également metteure en scène et auteure de nombreuses pièces de théâtre et de scénarios pour la télévision et le cinéma. Elle s’est méritée à deux reprises le Prix Molson de journalisme en loisirs pour ses chroniques publiées dans La Presse. Les cercles concentriques, son premier roman, a reçu le Prix Esso du Cercle du livre de France, tandis que La femme-homme a été finaliste au Prix du jury France-Québec. Elle signe avec Blue Tango son cinquième roman.

Patrick Poirier a dirigé le magazine culturel Spirale de 2006 à 2014. Il est présentement directeur général des Presses de l'Université de Montréal. 

Si Poirier est écrivain·e, réviseur·e linguistique et gardien·ne d’animaux basé·e à Tio’tia:ke/Montréal. Iel est l’auteurice du livre de poésie Particules mélancoliques (Le lézard amoureux, 2017). On peut læ lire dans le collectif Il y a des joies dont on ignore l’existence (Diverses Syllabes, 2022) ainsi que dans les revues Mœbius et Estuaire. Fouolles (2024) est sa première parution chez Triptyque.

© Patrick Lemay

Marie Hélène Poitras est née en 1975. Elle a d'abord vécu à Aylmer et à Saint-Jean-sur-Richelieu avant de s'installer à Montréal. Après avoir collaboré à de nombreux magazines à titre de critique littéraire, après avoir présenté ses chroniques à l'émission télévisée Flash et tenté l'aventure de l'enseignement au niveau collégial, elle se consacre désormais à son travail de journaliste musique à l'hebdomadaire Voir, à celui de mère et à celui de DJ.

Son premier roman, Soudain le Minotaure (Triptyque, 2002; format de poche 2009), lui a valu le prix Anne-Hébert. Elle a aussi publié chez Triptyque, en 2005 (format de poche, 2007), le recueil de nouvelles La mort de Mignonne et autres histoires.
 

Jean-Noël Pontbriand est professeur associé à l’Université Laval depuis cinq ans. Il a enseigné dans des établissements publics et privés, et ce, à tous les niveaux, pendant cinquante-cinq ans, dont trente-cinq en création littéraire à l’Université Laval. Cette dernière expérience lui a donné l’occasion de mettre en oeuvre une pédagogie qui permet d’éveiller les étudiants au langage vivant et ainsi d’habiter le monde, en favorisant chez tous la création de même que la recréation de textes littéraires.

Pierre Popovic est professeur à l'Université de Montréal. 

Honoré de plusieurs prix et distinctions, John R. Porter a été directeur général du Musée national des beaux-arts du Québec (1993-2008) avant d’y oeuvrer à titre de commissaire du projet d’agrandissement qui a mené à l’achèvement du pavillon Pierre Lassonde. Professeur titulaire d’histoire de l’art à l’Université Laval pendant plus de vingt ans, puis président du conseil d’administration de l’université, il est l’auteur de plusieurs livres et à l’origine de nombreux catalogues d’exposition.

 

© Benoit Camirand

 

Carole Potvin enseigne la littérature au Cégep Gérald-Godin à Montréal. En 2004, elle obtient son doctorat de l’Université McGill pour une thèse consacrée à la correspondance échangée entre Sartre et Beauvoir durant la Seconde Guerre mondiale. 
 

Catherine Poulin est née et a grandi à Québec, a étudié la littérature à Trois-Rivières et vit à Montréal depuis plusieurs années. ENTOMOGRAPHIE est son troisième livre de poésie, il fut précédé de Nos attentats domiciles (Hexagone, 2015) et de Tailler les mammifères (Le Sabord, 2014), suite poétique qui a remporté le prix Piché de poésie en 2014. Elle fait partie d’un groupe d’exploration musicale et poétique, est membre d’un comité de lecture et travaille également à l’accompagnement littéraire pour une maison d’édition montréalaise.

 

© Alice Rivard

Cécile Prévost-Thomas, docteure en sociologie, est membre associé au groupe de recherche Jazz, chanson et musiques populaires actuelles (JCMP) de l’Observatoire musical français (OMF) de l’Université de Paris IV-Sorbonne. Spécialiste de la chanson francophone à laquelle elle a dédié sa thèse de doctorat, elle a publié une dizaine d’articles sur le sujet, notamment «Les temporalités de la chanson francophone contemporaine» (Cahiers internationaux de sociologie, vol. CXIII, 2002) pour lequel elle a obtenu en 2000, à Québec, le «Prix du jeune sociologue».

Professeur au Département de français de l'Université d'Ottawa, Maxime Prévost s'intéresse à la littérature romantique (Rictus romantiques. Politiques du rire chez Victor Hugo, Presses de l'Université de Montréal, 2002) et aux mythologies modernes (Mythologies du superhéros: histoire, physiologie, géographie, intermédialités, Presses universitaires de Liège, 2014 et L'invention de la rock star. Les Rolling Stones dans l'imaginaire social, Presses de l'Université Laval, 2014, ouvrages codirigés avec François-Emmanuël Boucher et Sylvain David). 

Avant tout photographe et vidéaste, Lucas Prud'homme-Rheault est aussi détenteur d’une maîtrise en études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. Animé par le désir de travailler l’image, de faire de la scénographie et de la mise en scène, il crée en 2019, en collaboration avec Pierre-Olivier Gaumond (conseiller dramaturgique) et Camille Brunet-Villeneuve (musicienne), le collectif de création multidisciplinaire La Décombre. Avec Madonna. Le déclin orchestré, il signe son premier essai, un projet de longue haleine dont les balbutiements remontent au 15 octobre 2008, au TD Banknorth Garden à Boston : lors d’une représentation du Sticky and Sweet Tour. Premier concert de Madonna auquel il aura assisté… avec ses parents. 
 
© Autoportrait

L’artiste montréalais Jacob Pyne (@cumpug) explore les thèmes de l’identité sexuelle, des relations et du sexe anonyme d’un point de vue queer. Ses scènes, intimes et chargées d’érotisme, sont inspirées de ses expériences et désirs personnels.

Stephen J. Pyne est professeur d'histoire de l'environnement à la Faculté des sciences de la vie de l'université d'État de l'Arizona.