Auteur·rices

Search

Ayant terminé en 1982 sa formation de comédien au Cégep de Saint-Hyacinthe, Martin Faucher signe sa première mise en scène en 1988 avec son collage de l’œuvre de Réjean Ducharme, À quelle heure on meurt? Il signe depuis plus de quarante mises en scène d’œuvres issues tant du répertoire classique que du répertoire contemporain, notamment pour des textes de Sarah Berthiaume, Carole Fréchette, Jasmine Dubé, Lise Vaillancourt, Emmanuelle Jimenez, Larry Tremblay, Claude Gauvreau et Jovette Marchessault.

Originaire de l’Abitibi, virginie fauve vit et travaille à Montréal. Littéraire volage, elle butine; en poésie et en prose, en revue et en fanzine, parfois sous forme d’événements ou de performances. Elle s’intéresse à l’histoire littéraire des femmes, à l’édition indépendante et aux arts imprimés. Elle est titulaire d’une maîtrise en études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble est son premier recueil de poésie
 
© Mathieu Grenier
 
 
 
 
 
 
 
 

Maxime Fecteau est essayiste et traducteur. Fervent lecteur d’œuvres littéraires non romanesques, il étudie par ailleurs l’essai personnel et le nature writing dans la littérature américaine.

 
© Cédric Trahan

Jean-François Filion, après une maîtrise en sociologie de l’Université Laval, obtient un doctorat en philosophie de l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Professeur associé au Département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal, il est également l’auteur d’une étude consacrée à Hegel, publiée aux Presses de l’Université Laval en 2006.

Louise-Hélène Filion effectue un stage postdoctoral au département de langues et littératures germaniques de l’Université du Michigan à Ann Arbor; elle enseigne également au sein du Residential College de la même institution. Ses travaux s’attachent à diverses traditions littéraires (québécoise, française, allemande, autrichienne) et aux champs de l’intertextualité, de l’interculturalité, de la culture matérielle et de l’histoire des émotions. Elle a récemment codirigé avec Robert Dion et Hans-Jürgen Lüsebrink un numéro de la revue trilingue Eurostudia ayant pour titre «Les fictions de l’histoire. Configurations germano-canadiennes et transculturelles». Elle a aussi publié les résultats de ses travaux dans plusieurs revues et ouvrages collectifs au Canada et en Allemagne.

Stéphanie Filion est écrivaine, poète et artiste. Depuis quinze ans, son travail s’articule autour du féminin, du quotidien, de la mémoire et du vivant. Au Lézard amoureux, elle a publié L’Orient, Louisiana (2013), Nous les vivants (2015) et Jeanne Forever (2018). Elle habite à Montréal.

Crédit photo: David Himbert

Laurent Filliettaz est un des membres de l'école genevoise d'analyse du discours et il a participé aux développements récents de l'approche modulaire initiée par Eddy Roulet. Il est un des auteurs de Un modèle et un instrument d'analyse de l'organisation du discours (Peter Lang, 2001) et est actuellement chargé d'enseignement et maître assistant au Département de linguistique de l'Université de Genève.

Suzanne Foisy est cofondatrice du laboratoire de recherche en esthétique au département de philosophie et des arts de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Avec Claude Thérien, elle a supervisé plusieurs événements dans ce domaine et fait paraître L’expérience esthétique en question (L’Harmattan, 2009) (avec Josette Trépanier) et Les Plaisirs et les jours (P.U.Q., 2013).

Dominic Fontaine-Lasnier enseigne la philosophie au Cégep de Drummondville depuis une vingtaine d’années. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise dans ce domaine, il a publié différents textes dans des revues et des livres, en plus d’avoir travaillé à la préservation et à la valorisation du patrimoine culturel en tant que président du Centre d’art de Richmond en Estrie.

Isabelle Forest est poète, romancière et praticienne en arts littéraires. Elle a conceptualisé et dirigé de nombreux projets. Son écriture et son implication en littérature ont été récompensées par plusieurs prix (Piché, Félix-Leclerc, Radio-Canada, Félix-Antoine-Savard, Institut Canadien de Québec, Jean-Noël-Pontbriand). Elle a été directrice artistique du Bureau des affaires poétiques et du Mois de la poésie pendant plusieurs années. Elle est actuellement responsable de la programmation de la Maison de la littérature et du festival Québec en toutes lettres à Québec.

 
 
© Atwood

© Jean Forest

Jean Forest a été professeur de langue et de littérature françaises à l’Université de Sherbrooke.
Il a publié de nombreux livres aux Éditions Triptyque, dont Pamphlet pour les décrocheurs (2006), Le Grand Glossaire des anglicismes (2008, réédition en 2011), Le Grand Glossaire du français de France (2010) et, plus récemment, Le Grand Glossaire des archaïsmes. Son dernier livre, La passion de Karlo (février 2015), est un récit évoquant le suicide de son fils, survenu en 2012.

© Michel Depatie

Carole Forget habite Montréal. Elle a aussi vécu en France et aux Antilles. Elle a publié plusieurs livres de poésie, notamment aux Éditions d’Art le Sabord et aux Éditions de l’Hexagone, ainsi que des textes dans diverses revues, en plus de participer à des festivals littéraires tant au Québec qu’à l’étranger. Elle a également réalisé des projets avec des artistes en art visuel.
 

Danielle Forget, dans le prolongement d'une carrière dans la recherche et l'enseignement universitaire, se consacre au roman et à la poésie.

Valérie Forgues est l’autrice du roman Janvier tous les jours et des livres de poèmes Une robe pour la chasse, Jeanne forever (avec Stéphanie Filion) et Radiale. Directrice littéraire des éditions Le lézard amoureux, elle collabore aux revues Nuit blanche et Le Sabord, et travaille en bibliothèque. Sa pratique d’écriture lui a permis de prendre part à plusieurs festivals et résidences au Québec, en Amérique latine, en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. Elle vit à Québec.

© Marilyn Forgues

Professeure retraitée de l'Université du Québec à Rimouski, Frances Fortier s'intéresse, d'un point de vue théorique et analytique, à la question de l'autorité et de la transmission narratives. 

Andrée Fortin est professeure au Département de sociologie de l’Université Laval. Ses travaux portent sur les liens entre la culture, l’espace et l’identité dans la postmodernité. Elle est l’auteure, entre autres, de Nouveaux territoires de l’art (Nota bene, 2000) et, avec Carole Després et Geneviève Vachon, de La banlieue revisitée (Nota bene, 2002).

Rosemarie Fournier-Guillemette est doctorante en études littéraires à l'UQAM, sous la direction de Lori Saint-Martin. Elle a examiné, dans le cadre de son mémoire, le travail du traducteur pour la traduction du Black English en français chez trois auteures noires américaines: Zora Neale Hurston, Alice Walker et Sapphire. Pour ses études doctorales, elle compte examiner la manière dont les voix uniques de Jane Austen et de George Eliot ont été traduites en français. Elle s'intéresse entre autres aux questions de féminisme, de postcolonialisme, de postmodernisme et de traduction littéraire. Engagée depuis 2008 dans de nombreux projets universitaires et littéraires, elle a accédé au printemps 2010 au poste de rédactrice en chef de la revue Postures, critique littéraire. En plus de multiples articles et communications, elle a publié un recueil de textes théoriques, Les pensées « post- »: féminismes, genre(s) et narration (2011), aux côtés de Moana Ladouceur et de Lori Saint-Martin. 

Danielle Fournier est poète, romancière et essayiste. Autrice d’une œuvre aussi riche que variée, elle a remporté le prix Alain-Grandbois et un prix du Gouverneur général du Canada, catégorie poésie. Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec.

Docteur en philosophie en cotutelle à l’École normale supérieure de Lyon et à l’Université Laval, Pierre-Alexandre Fradet a mené des recherches postdoctorales sur la philosophie québécoise à l’Université de Montréal. Il a publié plusieurs livres, dont Philosopher à travers le cinéma québécois et Derrida-Bergson. Sur l’immédiateté (Hermann) et Une vie sans bon sens. Regard philosophique sur Pierre Perrault (Nota bene, avec Olivier Ducharme). Il a codirigé deux dossiers de revue : l’un sur le cinéma québécois et la philosophie pour Nouvelles Vues (avec Sylvano Santini), l’autre sur le réalisme spéculatif pour Spirale (avec Tristan Garcia). Lauréat de l’un des Grands prix du journalisme indépendant, il enseigne avec passion au Cégep de Saint-Laurent.

Crédit photo : Julie Demers

Madeleine Frédéric enseigne les littératures françaises et francophones contemporaines à l'Université libre de Bruxelles. 

Michel Freitag (1935-2009), philosophe, sociologue et professeur émérite à l'Université du Québec à Montréal, est le fondateur de la «sociologie dialectique». 

Née à Québec en 1954, Christiane Frenette est poète, romancière et nouvelliste. Elle enseigne également la littérature au Cégep de Lévis-Lauzon.

Patrick Froehlich a exercé la profession de chirurgien. Il a vécu à Lyon, à Bruxelles et à Montréal. Il a publié le roman Le Toison (éditions du Seuil, 2006), la trilogie romanesque Corps étrangers (Les Allusifs, 2017-2020) et le récit Rien de beau sur la guerre (avec Maï Nguyen, éditions du passage, 2022).