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Christine Daffe a grandi à Montréal et réside aujourd’hui en Montérégie. Férue d’arts visuels, de musique et d’écriture, elle a publié des textes dans différentes revues ainsi qu’un roman relatant une enquête policière, intitulé Les gammes (À l’étage, 2017 ; finaliste au Prix Coup de cœur des amis du polar 2018 – Société du roman policier de Saint-Pacôme). La leçon est le deuxième roman de Christine Daffe. Elle a aussi un fils, dont elle est très fière.

 

© Léonie Lapperière

Daniel Dagenais est professeur de sociologie à l'Université Concordia. Il a obtenu en 2011 le prix Jean-Charles-Falardeau pour son ouvrage La fin de la famille moderne. Il fait partie du Collectif Société fondé par le regretté Michel Freitag depuis ses tout débuts. 

Isabelle Daunais est professeure au Département de langue et littérature françaises de l'université McGill et fait partie du groupe de recherche TSAR ("Travaux sur les arts du roman").

Michelle Daveluy est professeure agrégée au Département d’anthropologie de l’University of Alberta à Edmonton. Elle est aussi chercheure associée à l'Institut circumpolaire canadien et Adjunct Professor à Saint Mary's University à Halifax en Nouvelle-Écosse.

Personnalité bien connue des milieux du théâtre au Québec, Gilbert David enseigne la littérature et le théâtre à l’Université de Montréal.

Sylvain David est professeur agrégé au Département d'études françaises de l'Université Concordia, où il enseigne la littérature du XXe siècle et la littérature contemporaine. Il est membre de Figura — Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire et du Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes (CRIST). Ses travaux récents portent sur l'imaginaire de l'«après» dans le roman et l'essai français depuis l'après-guerre, sur la culture médiatique (télévision, cinéma, Internet) et sur le mouvement punk comme esthétique et éthique. On lui doit notamment l'essai Cioran. Un héroïsme à rebours (Presses de l'Université de Montréal, 2006) et le roman Faire violence (XYZ, 2013). Il a également codirigé, avec François-Emmanuël Boucher et Maxime Prévost, les collectifs L'invention de la rock star. Les Rolling Stones dans l'imaginaire social (Presses de l'Université Laval, 2014) et Mythologies du superhéros: histoire, physiologie, géographie, intermédialités (Presses universitaires de Liège, 2014). 

Née au Chili, Caroline Dawson est professeure de sociologie au Cégep Édouard-Montpetit et coorganisatrice du Festival de littérature jeunesse de Montréal. Finaliste du Prix du récit de Radio-Canada (2018), elle a publié plusieurs textes dans des collectifs et en revue. Son célèbre roman Là où je me terre (Éditions du remue-ménage, 2020) a été finaliste, entre autres, au Prix des libraires du Québec et au Combat national des livres de Radio-Canada (2021), et lauréat du Prix AIEQ et du Prix littéraire des collégiens (2022).
 
© Justine Latour
Né au Chili, Nicholas Dawson est écrivain, chercheur et directeur littéraire des éditions Triptyque. Il détient une maîtrise en études littéraires et un doctorat en études et pratiques des arts (UQAM). Il est l’auteur de La déposition des chemins (La Peuplade, 2010), d’Animitas (La Mèche, 2017) et de Désormais, ma demeure (Triptyque, 2020) pour lequel il a reçu le Grand Prix du livre de Montréal et le Prix de la diversité Metropolis Bleu, et qui a été traduit en anglais par D.M. Bradford (House Within a House, Brick Books, 2023). En plus d’avoir coécrit avec Karine Rosso Nous sommes un continent. Correspondance mestiza (Triptyque, 2021), il a également dirigé plusieurs ouvrages collectifs en création littéraire et dans le milieu universitaire. Son plus récent livre de poésie, Peur pietà, est paru aux éditions du Noroît en 2024.

Crédit photo : Justine Latour

Commissaire d’exposition et auteure, elle est actuellement directrice des communications dans une agence gouvernementale. Elle a dirigé le Musée du Bas-Saint-Laurent, coordonné des projets au Musée de la civilisation et a été animatrice et journaliste à la Société Radio-Canada.

Rodolphe de Repentigny a été critique d’art, notamment à La Presse, L’Autorité du peuple et Vie des arts. Il a aussi été un acteur du milieu artistique des années 1950 par le biais de toiles peintes sous le pseudonyme de Jauran. Il est mort tragiquement à 33 ans, en 1959, d’un accident d’alpinisme.

Jacques De Visscher est né à Gand (Belgique). Il a étudié la philosophie morale après sa formation comme architecte d’intérieur. Il a été professeur de philosophie au Département d’architecture de l’Institut Saint-Luc, à Gand, et professeur émérite à l’Université Radboud, à Nimègue, où il a enseigné les problèmes philosophiques dans la littérature. Il est l’auteur d’une vingtaine de livres en flamand qui concernent l’esthétique et la vie morale, l’herméneutique de la quotidienneté et l’anthropologie philosophique.

Geneviève De Viveiros est professeure au Département d'études françaises de l'Université Western Ontario. Spécialiste de l'oeuvre de Zola et du naturalisme, elle s'intéresse à l'histoire littéraire et culturelle du XIXe siècle, tout particulièrement au théâtre et à la correspondance. Ses articles ont paru, entre autres, dans les Cahiers naturalistes et la Revue d'histoire du théâtre. Elle collabore à l'édition critique du Théâtre complet d'Eugène Labiche (éditions Garnier). 

Pièce de mobilier des années 1950, avec ce que cela comporte d'angles bizarres, de couleurs voyantes et de bois poli, Claire Dé vit à Montréal et se consacre entièrement à l’écriture. Elle a fait paraître plusieurs nouvelles et romans, dont Le désir comme catastrophe naturelle (XYZ, 1998, prix Stendhal), Sourdes amours (XYZ, 1993), Sentimentale à l'os, Quatre pièces en un acte (VLB, 1991), Chiens divers (XYZ, 1991) et Hôtel Septième-ciel (Triptyque, 2011).

David Décarie est professeur à l’Université de Moncton où il  poursuit des recherches sur les genres et les figures dans l'œuvre de Germaine Guèvremont.

Isabelle Décarie vit à São Paulo au Brésil. Après avoir obtenu un doctorat à l’Université de Montréal, elle a poursuivi ses recherches postdoctorales sur la littérature contemporaine à l’Université Harvard, ainsi qu’au CELAT à l’Université du Québec à Montréal. Elle est l’auteure d’un essai sur le quotidien (Fictions domestiques, Trait d’union, 2004) et d’un roman-journal écrit en collaboration avec Stéphanie Filion, Almanach des exils (Marchand de feuilles, 2009). Elle a codirigé avec Brigitte Faivre-Duboz et Éric Trudel, l’ouvrage collectif Accessoires. La littérature à l’épreuve du dérisoire (Nota Bene, 2003), ainsi qu’un numéro de la revue Études françaises portant sur « La littérature au contact du visuel » (avec Éric Trudel, 2006). En 2010, elle a obtenu une bourse du Conseil des Arts du Canada pour l’écriture d’un roman qui est en préparation. 

Olivier Demers est professeur de philosophie au Cégep de Sherbrooke. Il a déjà publié un recueil de poésie, Quelques murmures avant la guerre (Textes et contextes, 2010), et un roman, L’hostilité des chiens (Triptyque, 2012, finaliste du Grand Prix littéraire Archambault). Contes violents est son premier recueil de nouvelles.

Écrivaine et scénariste, Fanie Demeule est titulaire d’un diplôme de doctorat en études littéraires de l’UQAM, où elle est chargée de cours. Elle travaille aussi à titre d’éditrice pour les éditions Tête première et Hamac. Elle a signé quatre romans, un livre illustré, un recueil de nouvelles, un court métrage, ainsi que plusieurs textes dans des revues et collectifs. En 2022, elle a remporté le Prix Jacques-Brossard de la science-fiction et du fantastique ainsi que le Prix des Horizons imaginaires. Elle se teint en roux clair naturel depuis plus de la moitié de sa vie.

© Martine Doyon

Jeanette den Toonder est directrice du Centre d'études canadiennes de l'Université de Groningen, aux Pays-Bas, depuis 2005, où elle enseigne la littérature du Québec et du Canada français au Département des langues et cultures romanes. 

Benoît Denis est professeur à l'Université de Liège. 

© Claudie Déry

Maude Déry poursuit un doctorat à l’Université Laval. Elle y travaille à un roman qui interroge les liens étroits qu’entretiennent la littérature et la peinture. En 2009 et en 2010, elle a participé aux Foyers d’écriture publique organisés par le Musée national des beaux-arts du Québec et à l’activité « Mine de rien » dans le cadre du festival littéraire Québec en toutes lettres.

Elle a publié une nouvelle et un récit poétique dans la revue en ligne Le crachoir de Flaubert. Sur le fil (Triptyque, 2013) est son premier recueil de nouvelles.

Catherine des Rivières-Pigeon est professeure au Département de sociologie de l'UQAM.

Marie-José des Rivières est professeure associée au Département des littératures et conseillère en développement de la recherche à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval. Elle est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ).

Poète, essayiste et psychiatre, Joël Des Rosiers est né aux Cayes (Haïti) en 1951, et vit au Québec depuis l’adolescence. Il a fait de la caye la figure la plus présente, la plus fragile et la plus émouvante de son univers poétique. «Homme de l’ex-île», il est l’auteur d’une œuvre considérée comme «l'une des plus importantes de la poésie en langue française des dix dernières années» (Jean-Jacques Thomas, Université Duke), en raison de son érudition, de sa maîtrise du langage et d'un projet poétique lucide qu'il a élaboré dans un essai intitulé Théories caraïbes. Poétique du déracinement (Triptyque, 2009 [1996]). Sa poésie est parcourue «d’un amour de la langue qui est science, médecine et sensualité» (François Hébert). 



Passionné d'architecture et de peinture contemporaines, Joël Des Rosiers a parcouru le monde – du Sahel à la Chine – avant de publier des textes dans des revues telles Mœbius, Poésie I, Tribune Juive, Vice Versa, Dérives et Lettres québécoises. On a pu également lire ses essais dans des ouvrages collectifs tels Résurgences baroques (Éditions La lettre volée, Bruxelles, 2001). Depuis 1987, les Éditions Triptyque ont publié les recueils de poésie Métropolis Opéra (1987), Tribu (1990), Savanes (1993), Vétiver (1999) et Caïques (2007), ainsi que la nouvelle Un autre soleil (2007). Son livre Lettres à l’Indigène (Triptyque, 2009) se présente comme une suite de lettres d’amour adressée à une femme des îles, tantôt réelles, tantôt imaginées. «Ces lettres, rédigées dans une langue parfaitement maîtrisée, chantées comme le seraient des poèmes, ressemblent en même temps aux pages d’un journal intime dont l’auteur, paradoxalement, souhaite révéler le contenu» (Nuit Blanche). Dans son recueil Gaïac (Triptyque, 2010), il met en poèmes les figures mythiques de la femme dans des lieux de lumière. Ce sont des synesthésies où les odeurs, les formes, les couleurs se conjuguent au cours d’un voyage d’existence. 



Joël Des Rosiers a participé à des rencontres de poésie dans de nombreux pays, entre autres, la France, les États-Unis, l’Argentine, en Afrique ainsi que dans les Antilles. Ses écrits jouissent d'une reconnaissance critique et académique internationale et se retrouvent dans plusieurs anthologies. Sa poésie a été mise en scène en 2004 par le Théâtre des Tarfurs à Bordeaux et en 2009 par un groupe de musique contemporaine en France. 



L’œuvre de Joël Des Rosiers a reçu plusieurs honneurs. En 1990, Tribu se hissait au rang des finalistes pour le Prix littéraire du Gouverneur général, et en 1994 le Prix d'Excellence de la Ville de Laval lui est décerné pour Savanes. En 1997, l’écrivain recevait le Prix de la Société des écrivains canadiens pour Théories caraïbes. Poétique du déracinement et en 1999, Vétiver était couronné du Prix du Festival international de poésie et du Grand Prix du livre de Montréal. La traduction anglaise de Vétiver par Hugh Hazelton fut récompensée par le Prix du Gouverneur général du Canada. Son recueil Caïques a obtenu la Mention spéciale de poésie du Prix Casa de las Americas, et Métaspora. Essai sur les patries intimes (Triptyque, 2013), le prix MLA for Independant Scholars.

Le recueil de poésie, Chaux, paraît à l'automne 2015 chez Triptyque. Il est élu à l’Académie des lettres du Québec en septembre 2017. Son discours de réception, Médecine et littérature, paraît en 2019 chez Triptyque avec une présentation de l’écrivain Pierre Ouellet, et il est suivi de la publication de ses Œuvres complètes. Poèmes 1987-2015.
 

Marie-Frédérique Desbiens a collaboré à des éditions critiques sur l’histoire et les écrits des Patriotes. Elle a également prononcé plusieurs communications au Québec et en Europe sur ces questions ainsi que sur le roman historique. Cosignataire de La vie littéraire au Québec, elle a été coordonnatrice de cette équipe pendant plus de 10 ans avant de devenir responsable de programmes au Fonds de recherche du Québec – Société et culture.
 

Olivier Descamps a grandi à Paris, où il a fait des études de philosophie. Après s’être installé à Montréal, il s’est mis à écrire, d’abord en tant que scénariste, puis comme auteur de romans. Il a publié plusieurs romans pour adolescents. 
 
© Sophie Benmouya

Louise Deschênes est née en 1957 à Québec. Romancière et poète, elle travaille comme bibliothécaire à la Bibliothèque nationale du Québec. Elle s’intéresse particulièrement au roman intimiste et à la poésie narrative. Elle a publié quatre romans (dont Le berceau des ombres, 2002; Compassion, 2005) et deux recueils de poésie (Cet instant orphelin, 2001; L’âge de toutes les peurs, 2006). Au printemps 2008 paraissait chez Triptyque son dernier recueil, Porte dérobée.

Artiste peintre né à St-Hyacinthe, François Desnoyers a exposé au Québec, en Ontario et à l’étranger. Étant aussi poète, « Derrière le silence » est son premier recueil.

Carole Després est professeure à l'École d'architecture de l'Université Laval.

Julien Desrochers est professeur à l’Université de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Il est spécialiste des littératures acadienne et québécoise contemporaines. 
 
© Dorothée Desrochers

Romancière et nouvelliste, Lynn Diamond est l’auteure de quatre livres, parus aux Éditions Triptyque, tous bien reçus par la critique : Nous avons l'âge de la terre (1994), Le passé sous nos pas (1999), traduit en anglais sous le titre The Past at Our Feet (Guernica Editions, 2004), Le corps de mon frère (2002), finaliste au Prix des collégiens 2003 et Leslie Muller ou le principe d'incertitude (2011). Elle a aussi traduit La vie de Margaret Laurence, de James King.

Patrick Dieudonné, historien d'architecture, est maître de conférences à l'Institut de Géoarchitecture de l'Université de Bretagne Occidentale et chercheur associé à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain.

Michel Dion est professeur titulaire à la Faculté d’administration de l’Université de Sherbrooke. Il est titulaire de la Chaire de recherche en intégrité financière CIBC. Éthicien (détenteur d'un doctorat en théologie), il a publié, entre autres, Littérature et organisation (Nota bene, 2011), Éthique et criminalité financière (L’Harmattan, 2011), Éthique économique et croyances religieuses en Islam (Fides, 2011), Bouddhisme et leadership (Fides, 2008), Philanthropie et responsabilité sociale de l’entreprise (Éditions ESKA, 2008) et L’éthique de l’entreprise (Fides, 2007, 3e édition).

Robert Dion est professeur au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Ses recherches portent sur la dimension référentielle des fictions québécoises et françaises contemporaines.

Nathalie Dolbec est professeure agrégée au Département de langues, littératures et cultures de l’Université de Windsor (Ontario), où elle enseigne la littérature et la culture francophones du Canada. Ses travaux de recherche portent sur le discours descriptif chez les écrivains du XIXe au XXIe siècles, tant au Canada qu’en France.

Nicoletta Dolce enseigne au Département de littératures et de langues modernes de l’Université de Montréal. Elle partage sa vie entre la littérature et la danse. 

Thomas Dommange est né en France en 1969, sur un continent obsédé par l’histoire. Il vit au Québec depuis 2004, sur un continent captivé par la géographie. Docteur en philosophie et enseignant au Cégep Édouard-Montpetit, il a publié plusieurs ouvrages dont, chez Vrin, Instruments de résurrection et, chez Nota bene, Le rapt ontologique. Penser l’être des singularités, essai qui fut nommé aux Prix littéraires du Gouverneur général.

© HMvision.ca

© Aline Carrier

Marc Doré est originaire de Neuville (Québec). Il a publié deux romans aux éditions du Jour et deux pièces de théâtre chez Leméac. Plus récemment, il a fait paraître deux romans (Parigi! Parigi! et Traveling) et un recueil de nouvelles (Petites histoires de petits) chez Euh!. Il est aussi l’auteur de l’essai De l’improvisation et de la tactique du jeu, paru en 2011 chez Dramaturges Éditeurs. Il a enseigné au Conservatoire d’art dramatique de Québec de 1967 à 2004, dont il a été le directeur de 1981 à 1988.

Nous autres est son premier roman publié chez Triptyque.

Peter Dorrington est directeur adjoint de l'Institut français (Université de Regina), l'institution postsecondaire francophone de la Saskatchewan, où il assure également la direction du Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire.

Patrick Doucet est professeur de psychologie au cégep Marie-Victorin. Il a fait paraître en 2007 La Tentation du Monde ou Le voyage à sac à dos sous toutes ses coutures, un récit autobiographique, et en 2010, aux éditions Triptyque, Foucault et les extraterrestres.

Jean-François Dowd habite depuis l'enfance un village montérégien à quelques kilomètres de la frontière américaine. Il a publié des poèmes et des carnets, notamment La note du triangle aux Éditions du Noroît. Il enseigne dans un collège de Montréal.

Benoit Doyon-Gosselin est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et milieux minoritaires et professeur agrégé au Département d'études françaises de l'Université de Moncton depuis 2014. De 2007 à 2014, il était professeur au Département des littératures de l'Université Laval. Spécialiste des littératures francophones du Canada, il a publié des articles dans Romanica Silesiana, @nalyses, temps zéro, Mémoires du livre, Voix et images, Port-Acadie, Raison publique et dans de nombreux collectifs. 

Bachelière en histoire de l'art de l'Université du Québec à Montréal, Sophie Drouin rédige actuellement, au Département de lettres et communications de l'Université de Sherbrooke, un mémoire de maîtrise sur l'édition et la contre-culture au Québec. Assistante de recherche pour le Groupe de recherches et d'étude sur le livre au Québec (GRÉLQ), elle a été coorganisatrice du colloque étudiant Le livre et l'artiste, en février 2011 à l'Université de Sherbrooke.

Née à Montréal, Kelly Norah Drukker a grandi dans la région des Laurentides. Ce premier recueil de poèmes, Small Fires (McGill-Queen’s University Press, 2016), a remporté le A.M. Klein Prize for Poetry et le Concordia University First Book Prize. Il a également été finaliste au Grand Prix du livre de Montréal (2016).

© Brian Campbell

Annie Du est diplômée d’une maîtrise en études anglaises de l’Université de Montréal. À ses yeux, il s’agit là d’un diminutif qui évacue toute poésie de l’expérience humaine. Jadis passionnée par les sandwichs aux balivernes, elle s’intéresse à l’indicible et au surréel du quotidien.

© Antoine Dauchez

Sophie Dubois est doctorante au Département des littératures de langue française de l'Université de Montréal. 

Docteur en philosophie, Olivier Ducharme est l’auteur de Michel Henry et le problème de la communauté. Pour une communauté d’habitus (L’Harmattan, 2013), d’Une vie sans bon sens. Regard philosophique sur Pierre Perrault (avec Pierre-Alexandre Fradet, Nota bene, 2016), de Todd Haynes : cinéaste queer. Liberté, identité, résistance (Varia, 2016) et de À bout de patience. Pierre Perrault et la dépossession (Écosociété, 2016).

Alexandre Duchêne est professeur en sociologie du langage et directeur de l’Institut de plurilinguisme de l’Université de Fribourg et de la Haute École pédagogique de Fribourg. 

Claudine Dugué, après avoir conjugué «petits boulots, grand désarroi», retourne sur les bancs de l’école en graphisme, puis en littérature. Dans son sac à dos de voyageuse: un diplôme de l’UQAM en Études littéraires; le souvenir d’un travail à la Ville de Montréal comme aide-bibliothécaire pendant onze ans et un roman jeunesse, Le petit train de nuit, publié aux Éditions de la Paix en 2003.
Depuis, elle a largué les amarres, avec comme devise «Contre vents et marées», vers la région de Chaudière-Appalaches afin de naviguer au plus près des mots. Elle travaille à l’écriture d’un roman, de contes et de poèmes.
 

Gérard Duhaime est sociologue, politologue et professeur à l'Université Laval. Il travaille sur les relations entre l'économie et la société, principalement en ce qui concerne les communautés polaires et autochtones, qu'il fréquente depuis trente ans. Il a publié plusieurs travaux scientifiques, dont La vie à crédit, consommation et crise (PUL, 2003) et Le Nord. Habitants et mutations (PUL, 2001).

L'auteur a reçu en octobre 2013 le Prix de la recherche scientifique sur le Nord.

Sorray. Le retour au monde est son premier roman.

Annie Dulong est docteure en littérature (création littéraire). Ses recherches postdoctorales (FRQSC-UQAM et CRSH-New School) ont porté sur la représentation du 11 septembre en littérature contemporaine. Elle enseigne la littérature dans le réseau collégial et est membre du centre de recherche Figura, de l'équipe de recherche ERIC LINT et du Lower Manhattan Project à l'Université du Québec à Montréal. Elle a également publié des oeuvres de création littéraire : Autour d'eux (2008) et Onze (2011). 

Sébastien Dulude est poète, performeur, critique et éditeur. Il est l’auteur des recueils de poésie chambres (Rodrigol, 2013) et ouvert l’hiver (La Peuplade, 2015), de l’essai Esthétique de la typographie (Nota bene, 2013) et a publié de nombreux textes en revues et fanzines. Sur scène, il s’est fait connaître pour ses performances exigeantes, entre violence, malaise et intimité. Il a eu l’occasion de présenter son travail sur des scènes un peu partout au Québec ainsi qu’en Belgique, France, Serbie, Suède et Russie. Il signe depuis 2012 des critiques de poésie dans la revue Lettres québécoises dont il fait partie du comité de rédaction depuis 2017. Il a également dirigé le magazine culturel Spirale de 2017 à 2019. Il est actuellement le directeur littéraire des éditions La Mèche.

névé dumas fréquente les grands établissements de la culture depuis le jour où il a été assez grande pour sauter la clôture menant au champ de maïs de son vieux voisin, le fermier Scullion. Elle a pratiqué le livre d’artiste sous plusieurs noms et avec plusieurs collaborateurs et a publié, sous le nom d’Antoine Dumas, Au monde. Inventaire (éditions du passage), recueil de poèmes qui lui a valu d’être finaliste du prix Émile-Nelligan 2015.

Alina Dumitrescu est née en Roumanie. Immigrée au Québec il y a vingt-huit ans, elle vit aujourd'hui à Montréal. Le cimetière des abeilles, écrit en français, est son premier livre. 

François Dumont est professeur au Département des littératures de l’Université Laval, où il dirige le Centre Hector-De Saint-Denys-Garneau, voué à l’étude de la poésie québécoise. Il a fait paraître plusieurs études sur la poésie (L’éclat de l’origine, 1989; Usages de la poésie, 1993; La poésie québécoise, 1999) et sur l’essai (La pensée composée, 1999; Approches de l’essai, 2003). 

Clara Dupuis-Morency est née à Québec en 1986. Elle a fait des études de lettres, et a écrit une thèse de doctorat en littérature comparée sur Marcel Proust et W. G. Sebald. Elle enseigne occasionnellement la littérature en tant que chargée de cours, et anime diverses activités intellectuelles et culturelles (podcasts, cycles de conférence, etc.). Elle fait partie du comité de rédaction de la revue Mœbius depuis sa refonte en 2016, et a publié des textes dans des revues et cahiers littéraires (Cahiers littéraires Contre-jour, Revue Post-Scriptum). Mère d'invention est son premier livre.

©Nick Bostick

Gilles Dupuis est professeur agrégé au Département des littératures de langue française de l'Université de Montréal. 

Jean-Philippe Dupuis est né à Montréal en 1966. Il a publié trois recueils de poèmes : Attachement (1999), Table de nuit (2004) et Langue maternelle (2014). Il a aussi réalisé le documentaire Saint-Denys Garneau (2011).

Crédit photo: Pauline Dupuis

Jean-Pierre Dupuis est professeur de sociologie et d'anthropologie des organisations à l'école des HEC. Ses travaux de recherche portent principalement sur les relations entre les gestionnaires québécois et ceux de la France, du Mexique et des États-Unis dans le cadre d'entreprises ayant des activités internationales.

Renée Dupuis est une avocate spécialisée dans les droits de la personne et plus particulièrement dans les domaines relatifs aux peuples autochtones. Elle a reçu en 2001 le Prix du Gouverneur général pour son essai Quel Canada pour les Autochtones? La fin de l'exclusion. 

Félix Durand vit et travaille à Montréal. Artiste et poète, elle partage ses élans entre les mots, la sculpture, les images et les humains. Sa pratique visuelle solo ainsi que sa pratique en collectif ont fait l’objet d’expositions et de performances au Centre Clark, au Festival international de la littérature, à Arsenal art contemporain et à Espace Projet, entre autres. Elle a publié Carbone scopique au Lézard amoureux en 2021.

© Cédric Trahan

Frédérick Durand est né en 1973. Après avoir complété un doctorat en littérature à l’UQTR, il a enseigné à l’Université du Québec à Trois-Rivières, au Collège Laflèche et au Cégep de Trois-Rivières. Il a publié onze romans, trois recueils de poésie et un recueil de nouvelles chez différents éditeurs. Frédérick Durand a aussi publié des nouvelles, des articles et des comptes rendus, en anglais et en français, pour divers périodiques, dont Tangence, Recherches sociographiques, XYZ et Les Cahiers de la Société bibliographique du Canada.

Pascal Durand est professeur à la Faculté de philosophie et lettres dans les deux domaines de la sociologie des institutions culturelles et des théories critiques de l'information.

Catherine Dussault Frenette détient un doctorat en études littéraires de l’Université de Sherbrooke. Elle a publié l’essai L’expression du désir au féminin dans quatre romans québécois contemporains (Nota bene, 2016) et codirigé, avec Isabelle Boisclair, l’ouvrage Femmes désirantes. Art, littérature, représentations (Éditions du remue-ménage, 2013). Elle a été chargée de cours à l’Université de Sherbrooke, où elle a enseigné la littérature des femmes. Elle est présentement bibliothécaire professionnelle aux Bibliothèques de Sherbrooke.

Écrivaine et musicienne, Danielle Dussault publie des nouvelles, de courts récits et des romans. Elle a également travaillé pour le cinéma, la télévision et le théâtre.
Parmi ses ouvrages, deux sont parus chez Triptyque, Le vent du monde ( 1987 ) et Les yeux grecs ( 1996 ). Elle a reçu plusieurs distinctions, dont le prix Alfred-DesRochers en 2003 pour son récit L’imaginaire de l’eau ( L’instant même ).
Elle a aussi publié Salamandres (L’instant même, 2007), et, plus récemment, Fragments de l'instant (Triptyque, 2011).

Vice-recteur adjoint aux études à l’Université Concordia, il est l’auteur de dix livres, dont Chair et Métal: Évolution de l’homme, la technologie prend le relais (Éditions VLB, 2000, Prix du meilleur essai de la Société des écrivains canadiens, section Montréal, publié en anglais chez MIT Press), Les murs des planètes suivi de La cathédrale aveugle (Éditions VLB, 2002, finaliste pour le prix de poésie Terrasses Saint-Sulpice de la revue Estuaire), Les bêtes (Éditions Triptyque, 2003), La Condition inhumaine (Flammarion, 2008), Là où dorment les crapauds (Éditions Triptyque, 2008) et, plus récemment, Enfanter l'inhumain (Éditions Triptyque, 2012).