« On oublie qu’il y a tant d’étoiles occupées à fabriquer de l’infini. » C’est de cet infini qu’est faite la prose de ce livre : de villes nordiques, de jardins en automne, de corps amoureux, de matins jaunâtres, de détours vécus comme des voyages, de maisons et de rêves racontés. De toutes ces choses qui font la vie, qui la singularisent, la rendent lumineuse. Félibre et la Fée, les éternels amoureux, s’inventent une fête et nous y invitent. Puis a lieu une autre fête, et encore une autre. Jusqu’à la dernière, peut-être, où ils se retrouvent seuls. « La lune et les marées s’occuperont du reste. »