La fin du XXe siècle porte encore et toujours le silence des siècles précédents. Le 31 décembre 1999, dans un appartement élégant de la Fifth Avenue, à New York, une tragédie marque d’un trait indélébile le passage mythique du siècle et ouvre une brèche impossible à colmater. Brian Davis Sauvé, psychanalyste compétent, tentera de protéger sa fille adolescente confrontée à l'horreur.
Après quelques années d’incertitude et de quête acharnée, alors qu’il participe à une conférence à l’Université Paris I, Brian Sauvé devient le premier et l’ultime témoin d’un changement mondial difficile à imaginer, jamais survenu dans l’histoire de l'humanité. Rêve-t-il ? Son esprit s’en va-t-il à la dérive ? Seul rescapé de ce cauchemar, un amour inconditionnel qui défiera la mort.
« Ce deuxième roman de Thérèse Lamartine nous plonge dans la perplexité. Le caractère hybride de l’ouvrage y joue pour beaucoup. Thriller psychanalytique? Fable féministe? Fiction d’anticipation? Un peu tout cela. Quand ce n’est pas carrément l’aspect pamphlétaire qui prend le dessus. […] Astucieuse, l’auteure place au centre de son histoire un héros masculin, qui plus est torturé par ses propres contradictions et assailli par un sentiment de culpabilité. »
– Danielle Laurin, Le Devoir, samedi 1er février 2014.
« Le propos du roman de Thérèse Lamartine est donc non seulement d’actualité, mais aussi éclairant à bien des titres.»
– Sophie Ginoux, Voir, 6 février 2014.
« Le silence des femmes met en scène des rebondissements qui relèvent du roman policier et du thriller – le tout ficelé comme un roman de José Saramago (j’ai beaucoup pensé à L’Aveuglement pendant la 4e partie du roman). WOW! Je vous le dis: COURREZ vous chercher ce roman. Ça en vaut la peine! J’ai déjà hâte de lire son prochain! »
– Caroline Roy-Blais, blogue Je suis féministe, 29 mars 2014.