la mer
trop grande sous la peau
Une île à la place du cœur. Une fissure qui traverse le corps.
Des peuples à la dérive. Et tous ces dieux qui s’entretuent.
L’attente d’un tout.
on t’invite à soulever le contour de ton ombre
à transporter le jour sous tes paupières
il reste une telle lumière
dans le miroir qui porte le monde