La vie après le capital, Manifeste sans parti

Lemelin, Jean-Marc, La vie après le capital, Manifeste sans parti, Éditions Nota bene, Fonds (sciences humaines), 2009, 88 p.
Prix : 17 $
ISBN : 978-2-89031-658-4

Il y en a pour qui le capital, c’est la vie ou la liberté; pour d’autres, il est, comme marché, la source de la démocratie, ou celle-ci en serait l’origine… à moins que ce ne soit la religion ou la diplomatie. Tel n’est pas le principe de ce «pragrammatique» manifeste.

Comme le prolétariat – sans dictature et sans parti, mais force de travail vivant dans les rapports de forces ou les luttes – déborde les cadres ou les rangs de la classe ouvrière (ou prolétaire), le travail vit à l’étroit dans le capital, quand il n’y a de travail que par et pour le capital; alors que le travail devrait «travailler» pour le non-travail, pour le temps libre: le nontemps de la libération et de l’émancipation, de l’exploration et de l’organisation, de la collaboration et de la coopération, de la création et de la récréation. Le travail est social: c’est un rapport social, comme l’argent ou la monnaie; il est donc politique et pas uniquement économique: subordonné, subsumé sous le capital et la société, sous le capital (du spectacle) de la société et la société (du spectacle) du capital, il craque, sue et pue ou il change, expérimente et innove, corps et âme, chair et cœur – et avec des mots d’esprit…

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