Le recueil est articulé autour de trois propos distincts : le vieillissement et la mort qui rôdent et menacent les proches, le désir d’ouvrir les frontières du quotidien et l'idée que la vraie vie ne peut être qu’en soi.
La dernière partie nous entraîne du côté de la prose, à mi-chemin du vers et de la phrase, de l’image forte et du récit, de l’espace fulgurant et du temps de la narration.