Shakespeare invoque la crapaudine pour mettre en valeur les bénéfices que nous pouvons retirer de l’adversité et de l’exil, tandis que le vieux duc rend grâce d’échapper à la cohue, ce qui lui permet de recueillir les voix dans les arbres (dans les forêts du Saguenay et de Finlande), de voir des livres dans les ruisseaux (avec des empreintes d’encre qui flottent sur l’eau – des suminagashi) et aussi d’entendre la leçon des pierres.
Le crapaud, c’est une société brutale et cupide, où les hommes se laissent séduire par l’étoffe rouge du langage : ils se prêtent au jeu des façons d’être duquel peuvent surgir des moments de poésie.