Librement inspiré par le journal intime de la poétesse argentine Alejandra Pizarnik, Alejandra, parfois détaille, dans une langue près du chuchotement, les tableaux qui composent la collection de solitudes d’une femme, hantée par les guerres et les livres des autres, obsédée par la mort, les objets qui prennent feu et les vocables noirs comme une forêt :
Alejandra n’écrit pas elle disparaît / cède la place / à l’implacable désordre des choses.
« C'est un très bel hommage qui est rendu à la poète Alejandra Pizarnik dans ce livre de Dominic Gagné. Une belle réussite, sur le plan de l'évocation comme du style. »
— Guy Marchamps, Le Libraire