Pierre L'Hérault, professeur à l’Université de Moncton de 1972 à 1976, professeur émérite à l’Université Concordia, professeur invité aux Universités de Montréal, d’Innsbruck et d’Udine, ainsi que chercheur au Centre interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ), nous a quittés en novembre 2007. Spécialiste de l’œuvre de Jacques Ferron, dont il a contribué à transformer la lecture, il est l’auteur de Jacques Ferron, cartographe de l’imaginaire (Montréal, PUM) et, avec l’écrivain, de Par la porte d’en arrière. Entretiens (Outremont, Lanctôt éditeur, 1997). En 1991, il a signé Fictions de l’identitaire au Québec, en collaboration avec Alexis Nouss, Robert Schwartzwald et Sherry Simon (Montréal, XYZ éditeur); et en 2004, Le dire de l’hospitalité, en collaboration avec Lise Gauvin et Alain Montandon (Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise-Pascal). Pierre L’Hérault a également collaboré à divers collectifs et revues, signant notamment de nombreux articles dans les Cahiers de théâtre Jeu. Il a dirigé le magazine Spirale de 2002 à 2006.

François L'Italien est professeur associé au Département de sociologie de l'Université Laval. 

Essayiste et poète, Michaël La Chance est professeur titulaire de théorie esthétique à l’Université du Québec à Chicoutimi. Il est chercheur au CELAT et membre du comité de la revue Inter art actuel. Il a publié sept ouvrages de poésie et autant de proses. Récemment, il a reçu un prix d’excellence de la critique 2015 décerné par la SODEP, le Prix Ringuet de l’Académie des lettres 2015 pour Épisodies (La Peuplade 2014) et la Mention d’excellence des Écrivains francophones d’Amérique pour Crapaudines (Triptyque 2015).

Claude La Charité est professeur de littérature française d’Ancien Régime à l’Université du Québec à Rimouski. Ses travaux portent sur les femmes écrivains, ainsi que sur la poétique des genres et la rhétorique. Il collabore aux travaux du GARSE-XVI, coordonné par Jean-Philippe Beaulieu (Université de Montréal) et Diane Desrosiers-Bonin (Université McGill), et à l’Atelier XVIe siècle, dirigé par Mireille Huchon (Université de Paris-IV-Sorbonne).

Réal La Rochelle, professeur et critique en cinéma et en audiovisuel, a été président-fondateur de la Phonothèque québécoise / Musée du son. Il est l’auteur, entre autres, de Callas. La diva et le vinyle (1987), Cinéma en rouge et noir (1994), Opérascope. Le film-opéra en Amérique (2003), Le patrimoine sonore du Québec. La Phonothèque québécoise (2009) et Lenny Bernstein au parc La Fontaine (2010), tous publiés aux éditions Triptyque.

Gilles Labelle est professeur de pensée politique à l'École d'études politiques de l'Université d'Ottawa. Ses principaux champs d'intérêt sont la pensée et la philosophie politiques en France aux XIX^e et XX^e siècles. Il s'intéresse aussi à la pensée politique québécoise de la Révolution tranquille. 

Né à Montréal, il a complété un baccalauréat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Il a publié des textes dans quelques revues et ouvrages collectifs, en plus de participer à plusieurs lectures publiques de poésie. Son premier recueil de poèmes, Allons danser sur le toit, est paru aux éditions Le Loup de Gouttière en 2005.

Depuis, il a fait paraître, aux Éditions Triptyque, Lointain écho de la petite histoire (2009) et, plus récemment, Les aubes en retard (2012).

Lisandre Labrecque-Lebeau est sociologue, chercheure universitaire en milieu de pratique au Centre de recherche de Montréal sur les inégalités sociales, les discriminations et les pratiques alternatives de citoyenneté (CREMIS) et professeure affiliée à l’Université du Québec en Outaouais (UQO).

Germain Lacasse est professeur agrégé au Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l'Université de Montréal. 

Isabelle Lachance est professionnelle de recherche et chargée de cours à l’Université du Québec à Trois-Rivières.

Michel Lacroix a été emballeur au Métro Paquette, joueur à Génies en herbe, étudiant endetté, jeune chercheur enthousiasmé par la théorie et l’écriture d’articles savants. Ses recherches portent sur les correspondances littéraires, l’histoire littéraire et intellectuelle québécoise et la sociologie de la littérature. Il est professeur à l’Université du Québec à Montréal, fait partie du collectif de rédaction de La vie littéraire au Québec, et a été président du Syndicat des profs de l’UQAM. Cécile et Marx est son premier recueil d’essais.

© Audrée Wilhelmy

Diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Montréal, Louise Ladouceur s’est consacrée au théâtre expérimental et féministe avant de s’intéresser à la traduction. Elle a traduit six œuvres pour la scène tout en poursuivant des études universitaires. Professeure agrégée à l’University of Alberta, elle détient une maîtrise en traduction de l’Université de Montréal et un doctorat en études interdisciplinaires de l’University of British Columbia.

Née en 1980 à Montréal, Annie Lafleur a publié Prolégomènes à mon géant (2007) ainsi que Handkerchief (2009) chez Le lézard amoureux. Ces deux recueils de poèmes confirment avec force le talent indéniable de cette poète montréalaise, également active depuis plusieurs années dans le milieu des arts visuels.

Guillaume Lafleur a publié de nombreux articles sur le cinéma. Il a été directeur artistique d’Antitube, organisme voué à la diffusion du cinéma d’auteur, de même qu'il a dirigé Daïmôn, centre de production et de diffusion en arts médiatiques. Il est actuellement programmateur-conservateur en cinéma québécois, canadien, international et nouveaux médias à la Cinémathèque québécoise. 

Sociolinguiste et analyste du discours, Marty Laforest est professeure titulaire au Département de lettres et communication sociale à l’Université du Québec à Trois-Rivières.

© Bénédicte Brocard

Conrad Laforte est ethnologue et folkloriste de réputation internationale et professeur émérite au Département d’histoire de l’Université Laval. Chercheur minutieux, il est un des membres fondateurs du Centre d’études interdisciplinaires sur les lettres, les arts et les traditions des francophones en Amérique du Nord (CÉLAT). Il est l’auteur de nombreux livres, dont Chansons de facture médiévale retrouvées dans la tradition orale (2 volumes, Nuit blanche éditeur, 1997) et Contes traditionnels du Saguenay (Va bene, 2001).

Geneviève Lafrance est professeure au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Elle a publié des articles sur Mme de Staël, Jacques Ferron et Saint-Denys Garneau, notamment dans la revue Voix et images. Sa thèse de doctorat – pour laquelle elle a reçu le Prix d’excellence de l’Académie des Grands Montréalais dans la catégorie Sciences humaines et sociales, arts et lettres – a été publiée sous le titre Qui perd gagne. Imaginaire du don et Révolution française (Presses de l’université de Montréal, coll. « Socius », 2008).

Larissa Lai est écrivaine, critique littéraire et professeure de littérature à l’Université de Calgary. Elle est récipiendaire de plusieurs prix pour son œuvre, notamment du Prix littéraire Lambda pour la fiction lesbienne (2018) et du Prix Jim Duggins Outstanding Mid-Career Novelist (2020). Le fruit de la puanteur (Salt Fish Girl, 2002) est son premier livre traduit en français. larissalai.com

© Rob Newell

Titulaire d’un doctorat portant sur les rapports entre art et littérature, André Lamarre pratique l’écriture sur l’art et la critique littéraire. Il a publié, entre autres, dans CV Photo, Espace, Études françaises, Les Écrits, Liberté, Parachute et Spirale, rédigé plusieurs textes de catalogue et des préfaces d’anthologie de poésie.

© Hélène Lyonnais

Née à Québec, Thérèse Lamartine habite Longueuil. Elle a étudié le journalisme, les communications et le cinéma à l'Université de Montréal. Elles, cinéastes… ad lib est paru en 1985 aux Éditions du Remue-Ménage. Plus récemment, elle a publié un roman, Soudoyer Dieu (JCL, 2009), ainsi qu'une anthologie, Le féminin au cinéma (Éditions Sisyphe, 2010). Avant de se consacrer à l'écriture, elle a occupé le poste de directrice de Condition féminine Canada, au Québec et au Nunavut. Elle travaille depuis quelques années sur un dictionnaire mondial des femmes cinéastes, un projet répertoriant à ce jour plus de 2400 noms.

Le silence des femmes est sa première publication aux éditions Triptyque.

Vincent Lambert est né à Saint-Narcisse-de-Beaurivage en 1980. Il a publié des poèmes, La fin des temps par un témoin oculaire, et quelques essais dans les revues Contre-jour et l'Inconvénient.

André Lamontagne est professeur de littérature québécoise à l'Université de Colombie-Britannique, à Vancouver.

Serge Lamothe s’est d’abord fait connaître comme romancier et nouvelliste. Avec la publication du livre Le procès de Kafka et le Prince de Miguasha (Alto 2005), il abordait le théâtre. La publication de son premier recueil de poèmes, Les Urbanishads, a confirmé la très grande polyvalence de l’écriture et la verve de cet auteur remarquable.

Née à Lombez (France) en 1929, Suzanne Lamy est arrivée au Québec en 1954. Après un doctorat ès lettres à l'Université de Montréal, elle est devenue professeure de littérature au Cégep du Vieux Montréal. Elle a dirigé la revue Spirale de 1984 à 1986. Elle est morte le 25 février 1987.

©Gérard Lalonde

Denise Landry a travaillé de nombreuses années dans le domaine des télécommunications. En 2005, à la suite de la publication de son premier roman, Vernissage (Vents d'Ouest), elle décide de se consacrer entièrement à l’écriture et à la littérature. Depuis, elle a obtenu un baccalauréat en études littéraires à l’UQÀM et une maîtrise en littérature de langue française à l’Université de Montréal.
Ma mère est une porte est son deuxième roman, publié aux éditions Triptyque.

Francis Langevin est titulaire d’un doctorat en littérature française (UQAR et Lille-3). Il est spécialiste des théories du récit. Ses recherches actuelles portent sur le style et les valeurs, de même que sur les représentations de la régionalité dans les fictions québécoises et françaises contemporaines. Sur ces sujets, il a fait paraître des articles et codirigé des numéros thématiques dans les revues Voix et images, Tangence, Spirale, Contre-jour, @nalyses et Temps zéro. Il vit à Kelowna, en Colombie-Britannique.

Gérard Langlade est professeur émérite en littérature française à l'Université Toulouse – Jean Jaurès. Ses travaux associent une approche de la lecture littéraire comme interaction entre prescriptions des oeuvres et expériences de lecture subjective à une réflexion sur l'enseignement de la littérature. 

Fannie Langlois est détentrice d’une maîtrise en création littéraire de l’UQAM. Elle a déjà participé à de nombreuses lectures publiques et enseigne le français. En 2004, elle a publié son premier roman L’Urne voilée (Éditions Varia). Dans ses écrits, Fannie s’intéresse particulièrement à l’inconscient et à la façon dont celui-ci s’exprime à travers le rêve.
Pour Une princesse sur l’autoroute (Triptyque, 2010), elle a voyagé en France, entre autres à Montségur, et a participé à des fouilles archéologiques pour tenter de s’imprégner du vécu dans d’autres espaces-temps et donner au rêve la forme de la réalité.

Simon Langlois est professeur au Département de sociologie de l’Université Laval. Il a publié de nombreux travaux sur la société québécoise – notam­ment Les raisons fortes. Nature et signification de l’appui à la souveraineté du Québec (avec Gilles Gagné, 2002) et plusieurs études sur la consom­mation marchande dont son ouvrage Consommer en France (2006). Il a été rédacteur de Recherches sociographiques et il coordonne les activités de recherche du groupe international sur l’analyse comparée du changement social. Il est membre de l’Académie des sciences sociales de la Société royale du Canada. 

Poète et nouvelliste, Corinne Larochelle enseigne présentement au niveau collégial. Elle a collaboré à diverses publications dont Moebius, Action poétique, XYZ, L'Inconvénient, Exit, Les Écrits, Tessera et Voix & images.

Luc Larochelle a collaboré à plusieurs revues, au Québec, en Ontario et en France. Il est l’auteur de nouvelles et de poèmes: Ada regardait vers nulle part (Les Herbes rouges, 2000), Amours et autres détours (Triptyque, 2002), Ni le jour ni la nuit (Triptyque, 2004), Fugues en sol d’Amérique (Leméac, 2006), Hors du bleu (Triptyque, 2009) et L'évadé (Triptyque, 2010).

Karim Larose enseigne la poésie québécoise au Département des littératures de langue française de l'Université de Montréal. 

Né en 1992 au Niger, RICH LARSON (il/lui) est considéré comme le nouveau prodige de la science-fiction mondiale. En plus d’avoir fait paraître près de deux cents nouvelles, il a publié un roman, Annex, et un recueil d’histoires, Tomorrow Factory. Son travail a été traduit en polonais, en tchèque, en bulgare, en roumain, en portugais, en français, en italien, en vietnamien, en chinois et en japonais. En 2021, la traduction française de Tomorrow Factory a remporté le Grand Prix de l’Imaginaire. Après avoir vécu en Espagne, en République tchèque et en Afrique du Sud, Rich Larson habite aujourd’hui en Alberta.

Crédit photo: T. Sedore Photography 

Danielle Laurin, auteure de Duras, l'impossible, a dirigé le collectif Lettres à Marguerite Duras, deux ouvrages parus chez Varia en 2006. Journaliste littéraire, ex-animatrice de Cent titres à Télé-Québec et TV-5, elle collabore à Radio-Canada, au journal Le Devoir, à Elle Québec, L'Actualité, Châtelaine, Courrier International… Parmi ses récompenses : le Grand Prix des Magazines du Québec 2004, catégorie portrait.

© Tzara Maud

Bertrand Laverdure est poète, romancier, journaliste littéraire, performeur et blogueur, en plus d’être recherchiste et chroniqueur à l’émission littéraire Tout le monde tout lu!, à MAtv. En poésie, il a publié, entre autres, Rires (Noroît, 2004), Sept et demi (Quartanier, 2007), ainsi qu’un recueil destiné aux jeunes, Cascadeuse (La Courte Échelle, 2013). Ses romans, dont Bureau universel des copyrights (La Peuplade, 2011), Lectodôme (Quartanier, 2008, finaliste au Grand Prix littéraire Archambault 2009) et Gomme de xanthane (Triptyque, 2006), ont tous reçu un bon accueil critique. Il a participé à de nombreuses lectures publiques et évènements littéraires. Son plus récent recueil de poésie, Rapport de stage en milieu humain, est paru à l'automne 2014 chez Triptyque.
 

Carlo Lavoie est professeur de français, langue seconde, et de littératures acadienne et québécoise à l'Université de l'Île-du-Prince-Édouard.

Sylvain Lavoie est doctorant à l'Université Concordia. Il se spécialise en théâtre dans une perspective historique et sociologique. 

Il a fait de la géologie avant de passer aux sciences humaines. Après un mémoire de maîtrise sur la réhabilitation patrimoniale à La Havane (Cuba), il a obtenu un doctorat en géographie de l’Université d’Ottawa. Il a continué ses recherches sur le patrimoine urbain à Mexico, à Barcelone et dans le Redlight de Montréal. Ses domaines de prédilection sont, outre le patrimoine, la géographie littéraire, les mégaprojets et mégaévénements urbains, la banlieue et l’écocitoyenneté.

Il a toujours des projets en tête, est constamment tiraillé entre la poursuite de ses ambitions et le doux bonheur de l’oisiveté et adore ses enfants. Par les temps qui courent, il est chercheur à l’UQÀM et chargé de cours.

Son essai Montréal et la métropolisation est paru en 2012 aux Éditions Triptyque.

Claire Le Brun est professeure titulaire au Département d'études françaises de l'Université Concordia.

Titulaire d’une maîtrise de lettres de la Sorbonne, Monique Le Maner a été professeure de littérature et de latin en France, puis en Algérie et au Togo, avant de devenir journaliste dans un hebdomadaire parisien. Sous le nom de Monique Lepage, elle est l’autrice de plusieurs œuvres, notamment des biographies, des récits pour enfants et une pièce de théâtre radiophonique diffusée sur France Culture. Elle a également publié des romans policiers relatant les enquêtes d’Onésime Gagnon ainsi que cinq autres ouvrages de fiction très singuliers parus aux éditions Triptyque. Immigrée au Québec en 1979, elle vit maintenant à Montréal.

© Isabelle Leblanc

Psychologue et romancier, François Leblanc s’amuse à explorer des univers où il ne se passe apparemment pas grand-chose, mais où tout peut arriver. Après Quinze secondes de célébrité (Triptyque, 2009) et Quelques jours à vivre (Triptyque, 2012), l'auteur a publié Zagreb (Triptyque, 2013), le troisième volet de ce que l’auteur surnomme affectueusement sa «trilogie carcérale». Fidèle à ses habitudes, il se détourne du roman policier traditionnel pour mieux s’attarder aux questions qui le taraudent. En 2015, François Leblanc publie son premier recueil de nouvelles : Sors de ce corps.

Lucie Ledoux est correctrice pour le Ministère de l'éducation, du loisir et du sport, et étudiante au doctorat en littérature à l’UQAM. Elle termine une thèse sur le témoignage pornographique des femmes dans la littérature française contemporaine.
Un roman grec (Triptyque, 2010) est son premier roman.

 © Virginie Belhumeur

Jérémie Leduc-Leblanc habite Montréal. Ses textes sont parus dans les revues Zinc, XYZ, Brèves littéraires, EnRoute et Mœbius. En 2003 et en 2009, il a été finaliste du Prix littéraire de Radio-Canada dans la catégorie nouvelles. Il a fait paraître, chez Triptyque, Mémoire d’ombres (2007), La légende des anonymes et autres promenades (2011) et, plus récemment, La désolation.

Marie Lefebvre vit à Saint-Hyacinthe. Elle a fait des études en création littéraire et en enseignement des langues. Elle travaille comme professeure de français auprès des immigrants. Les faux départs est son premier roman.

Julien Lefort-Favreau mène des études dans le cadre du Programme de bourses postdoctorales Banting du Conseil de recherches en sciences humaines à l'Université de Sherbrooke. 

Bien que ce nom ne lui soit venu qu’avec ses premières plaquettes poétiques, Alexis Lefrançois est né en 1943. Belge d’origine, Québécois d’adoption depuis la jeune vingtaine, il a publié, après de nombreuses années de silence, L’abécédaire des Robots (Les Heures bleues, 2000) et Pages tombées d’un livre (Le lézard amoureux, 2006). Sous son nom de baptême, il s’adonne à la traduction de même qu’à l’élevage de chèvres angora.

Jean-Frédéric Légaré-Tremblay est un journaliste indépendant, spécialisé en affaires internationales. 

Maxime Lejeune est docteur en littérature française et licencié en littérature polonaise. Il a travaillé dans différents pays comme expert en formation linguistique pour les fonctionnaires et continue d’exercer ce rôle.
Il a déjà publié plusieurs nouvelles dans les revues Les Écrits, Mœbius et Brèves.
Il est l’auteur des romans Zacharie (Adage, 2003) et Le traversier (Triptyque, 2010).

Michel Lemaire est l’auteur de plusieurs articles sur la poésie québécoise et de quatre recueils de poèmes. Il a publié en 2002 l’édition critique des Œuvres poétiques complètes d’Albert Lozeau.

Jean-Marc Lemelin est professeur à l’Université Memorial (Saint-Jean, Terre-Neuve), depuis 1990. Il est directeur des Éditions Ponctuation. Auteur d’une dizaine d’ouvrages publiés et de milliers de pages disséminées sur Internet, il a notamment fait paraître chez Triptyque Le sujet ou Du nom propre (1996), et signe cet automne (septembre 2009) La vie après le capital.

Auteur d'articles sur Henri Michaux, Valère Novarina et Clément Rosset, Jean-Sébastien Lemieux prépare une thèse de doctorat sur la poésie québécoise de Évanturel à Loranger à l'Université Laval. Il a codirigé un collectif intitulé Se figurer l'origine ou la spécificité humaine (Éditions du Gifric, 2008). Publiant à l'occasion des poèmes et des nouvelles, il a remporté le concours de nouvelles d'XYZ. La revue de la nouvelle en 2006, a reçu la bourse de création Hector-De Saint-Denys-Garneau en 2007 et a gagné le deuxième Prix littéraire Radio-Canada dans la catégorie nouvelle en 2008. 

Maurice Lemire est professeur émérite et chercheur au Centre de recherche en littérature québécoise (CRILCQ) de l’Université Laval. On doit à cet initiateur de grands projets de recherche le Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec, qu’il a dirigé pendant plus de quinze ans, et La vie littéraire au Québec, dont il a codirigé les quatre premiers tomes. En 1995, le prix Gérard-Morisset lui était remis par le gouvernement du Québec pour l’excellence de son œuvre dans le domaine du patrimoine littéraire.

Gertrude LeMoyne (1912-2015) a enseigné la littérature comme chargée de cours à l’Université de Montréal et a été très active comme conseillère littéraire pour diverses maisons d’édition de Montréal. Elle a longtemps été membre du comité de rédaction des Écrits du Canada français.

Glenda León est née en 1976 à La Havane, où elle vit et travaille. Artiste conceptuelle, ses installations, ses performances et ses œuvres vidéographiques ont été présentées dans plusieurs lieux et manifestations, dont la VI^e Biennale de La Havane, en 2000, où elle reçoit le prix de l’UNESCO pour la promotion des arts visuels au sein d’un collectif d’artistes, le projet DUPP, qui scelle la plateforme d’un renouveau artistique majeur dans le contexte culturel cubain et l’émergence d’une nouvelle génération d’artistes dont la reconnaissance s’est fait sentir bien au-delà des rivages de Cuba. Artiste en résidence à plusieurs occasions, elle présente, à Paris, sa première exposition rétrospective au Plateau en 2007. Une exposition solo lui est consacrée à la Galerie m:a contemporary à Berlin en 2007, intitulée Flight of Reason/El vuelo de la razón. Glenda León a reçu la Pollock Krasner Foundation Grant en 2004.

© Monique Le Maner

Après un B. Sc. en physique de l’Université de Montréal, François Lepage obtient un doctorat en logique de l’Université de Paris V. Depuis 1986, il est professeur de philosophie à l’Université de Montréal. Auteur de nombreuses publications scientifiques, il a fait paraître Le dilemme du prisonnier (Éditions du Boréal, 2008) et Les abeilles (Éditions Triptyque, 2013), ainsi que des textes dans la revue Mœbius. Pas d'autres dieux est son troisième roman.

Georges Leroux est professeur émérite au Département de philosophie de l’UQAM, où il a enseigné l’histoire de la pensée grecque de 1969 à 2006. Connu internationalement comme helléniste et traducteur de Platon et de Plotin, il est l’auteur de plusieurs ouvrages de philologie et d’histoire. Il a également publié de nombreuses études sur l’art et la musique. Son essai, Partita pour Glenn Gould. Musique et forme de vie (PUM, 2007), a reçu plusieurs prix, dont le Prix de la revue Études françaises, et le Grand Prix du livre de Montréal, 2007. Il a été traduit en Anglais et en Japonais.

Louis Patrick Leroux est auteur, metteur en scène et professeur en double affectation aux départements d'anglais et d'études françaises à l'Université Concordia à Montréal. Après des études en théâtre (Ottawa, Paris), en littérature française (Ottawa) et en gestion des arts (HEC-Montréal), il a obtenu son doctorat en théâtre de la Sorbonne Nouvelle. Il a fondé et dirige le Groupe de recherche sur le cirque québécois qui rassemble universitaires, pédagogues et praticiens. En 2010, il a obtenu le prix du chercheur émergent de l'Université Concordia. Il a également obtenu le prix Jean-Cléo-Godin 2010 pour le meilleur article savant sur le théâtre publié en français ainsi que le prix Richard-Plant 2012 pour le meilleur article publié en anglais. 

Marc Lescarbot, né à Vervins (Aisne) vers 1570 et mort à Presles-et-Boves (Aisne) en 1641, est un érudit, avocat, voyageur, écrivain, courtisan, originaire de la Picardie.

Né en 1951 dans la Beauce, Jean-Louis Lessard a enseigné la littérature au cégep de Baie-Comeau pendant trente-cinq ans. Retraité, il vit à la campagne. Bibliophile, il collectionne les anviens livres québécois qu'il recense dans un blogue (Laurentiana) depuis 2006. 

Michel Létourneau est né à Québec en 1959. Il habite la région du Bas-St-Laurent depuis cinq ans. Il a publié aux éditions Triptyque Les rives claires (2008) et Les marges du désert (2010). Détachements et autres cycles d'un royaume est son septième recueil de poésie.

Patrice Létourneau, né en 1975, est diplômé en philosophie. Soucieux des rapports de la phénoménologie avec les sciences tout autant qu’attentif aux arts et aux productions culturelles, il a consacré plusieurs conférences et travaux à ces thématiques.

Après des études de philosophie et de littérature, Francis Levasseur a complété un doctorat en psychologie. Il enseigne la psychologie clinique et pratique en bureau privé dans la région de Montréal.

Claude Lévesque (1927-2012) a été professeur au département de philosophie de l’Université de Montréal, de 1960 à 2002. Nombre d’anciens étudiants ont témoigné de l’influence décisive de son enseignement. Membre de la Société royale du Canada et de l’Académie des lettres du Québec, collaborateur régulier à diverses émissions de la défunte Chaîne culturelle de Radio-Canada, il a publié plusieurs essais, dont Par-delà le masculin et le féminin (Aubier, 2002), qui lui a valu le Prix de l’essai de la revue Spirale.

Katia Levesque enseigne la littérature à l'Institut maritime du Québec à Rimouski ainsi qu'au Cégep de Rimouski. Elle est également chargée de cours à l'Université du Québec à Rimouski.

Nicolas Lévesque est psychanalyste et écrivain. Il est chroniqueur à la revue Liberté et à Ici Première. Il a été éditeur, directeur général du Groupe Nota bene ainsi que membre des comités de rédaction du magazine Spirale et des Cahiers littéraires Contre-jour.

© Autoportrait

© Mirabelle Ricard

Bernard Lévy est l’auteur de quatre livres publiés chez Triptyque, dont le recueil de nouvelles Le souffle court, paru à l'hiver 2014. Il a collaboré à divers périodiques littéraires et artistiques, tels que Spirale, Liberté, Mœbius, ainsi qu’à des revues scientifiques. Il a été chargé de cours à l'Université de Montréal, où il a enseigné pendant plus de vingt-cinq ans la rédaction pour les médias écrits et la vulgarisation scientifique. Il dirige la revue Vie des Arts depuis 1992.
Avec La nuit du violoncelliste il nous introduit dans l'univers du «roman accéléré».

Originaire de Terrebonne, Marc Lincourt est un artiste québécois de rayonnement international. Ses œuvres se retrouvent dans des collections publiques et privées au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Asie et au Moyen-Orient. Il vit présentement entre Montréal et Paris. Il a publié un livre d'art, Retour aux pierres élémentaires, à l'automne 2014.
 

Jaap Lintvelt est professeur au Centre d'études canadiennes à l'Université de Groningen (Pays-Bas). Il a été codirecteur de plusieurs ouvrages collectifs consacrés à la littérature québécoise, dont Sexuation, espace, écriture. La littérature québécoise en transformation (Nota bene, 2002).

© Michel Olivier Girard

Janis Locas est née en 1975 à Saint-Jérôme. Titulaire d’une maîtrise de lettres modernes de la Sorbonne et d’un baccalauréat en études françaises de l’Université de Montréal, elle a publié deux romans, La maudite Québécoise (Triptyque, 2010, réédité en format poche en 2012) et La seconde moitié (Hurtubise, 2005), ainsi que le carnet bipolaire Carpe et chienne.
Rédactrice, réviseure et traductrice, elle dirige Loca communication depuis 2006. Elle a auparavant occupé des postes en communication à Paris, à Montréal et au Manitoba.

Ian Lockerbie est professeur émérite de français à l'Université de Stirling (Écosse). Il a écrit de nombreux articles sur la littérature, le théâtre et le cinéma québécois.

Marie-Claude Loiselle pratique une écriture exploratrice où s’entremêlent questionnement esthétique et philosophique, présence sensible au monde et lecture des signes que les œuvres, les choses et les êtres manifestent. En plus d’avoir publié les essais La communauté indomptable d’André Forcier (Les Herbes rouges, 2017) et Des forêts du cinéma (Somme toute, 2022), elle a été commissaire d’exposition ainsi que rédactrice en chef de la revue 24 images pendant de nombreuses années.

© Autoportrait

Jean-Aubert Loranger est né Montréal en 1896, où il s’est éteint en 1942. Il a collaboré au Nigog et aux Idées, mais aussi à La Patrie, où il donna de nombreux contes. Il a publié deux recueils de poésie – Les  atmosphères (1920), Poëmes (1922) – ainsi qu’un recueil de textes brefs – À la recherche du régionalisme. Le village. Contes et nouvelles du terroir (1925).

Albert Lozeau (1878-1924) est un poète français.

Marie-Pier Luneau est professeure au Département des lettres et communications à l'Université de Sherbrooke et est codirectrice, avec Josée Vincent, du Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRELQ).

Hans-Jürgen Lüsebrink est docteur en philologie romane (Bayreuth, RFA, 1981) et en histoire (EHESS, Paris, 1984). Il a été professeur de 1988 à 1993 à l'Université de Passau et, depuis 1993, il enseigne à l'Université de Saarbrücken (Allemagne).

Alexis Lussier est professeur au département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Il est chercheur au Centre de recherche FIGURA sur le texte et l'imaginaire et actuellement collaborateur au programme de recherche RADICAL – Repères pour une articulation des dimensions culturelles, artistiques et littéraires de l'imaginaire contemporain. Il est spécialiste de l'oeuvre de Jean Genet et enseigne et développe une pensée de l'image dans le champ ouvert par la psychanalyse. Il est également l'auteur d'un livre de poésie, Les bestiaires, publié en 2007, et il se consacre toujours à la poésie. 

Martin Lussier est chercheur postdoctoral à la Faculty of Information and Media Studies de l'Université Western Ontario. Autrefois musicien, il poursuit maintenant des recherches sur le monde culturel québécois, ses industries, ses organismes et ses créateurs.