Élisabeth Haghebaert est coordonnatrice du Centre d’aide à la réussite à l’Université du Québec à Rimouski. Elle est l’auteure de plusieurs articles sur Réjean Ducharme. En collaboration avec Élisabeth Nardout-Lafarge, elle a également édité une anthologie de textes critiques: Ducharme en revue dans la collection «De vives voix» de la revue Voix et images (2006) et elle a codirigé avec Marie-Andrée Beaudet et Élisabeth Nardout-Lafarge le collectif Présences de Ducharme (Éditions Nota bene, 2009).
Jean-François Hamel est professeur au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Ses recherches portent sur les poétiques de l'histoire et les politiques de la littérature du XXe siècle français. En plus de nombreux articles, il a publié trois essais dans la collection « Paradoxe » des Éditions de Minuit : Revenances de l'histoire. Répétition, narrativité, modernité (2006), Camarade Mallarmé. Une politique de la lecture (2014) et Nous sommes tous la pègre. Les années 68 de Blanchot (2018).
Yan Hamel est professeur à la TÉLUQ. Spécialiste de la littérature française du vingtième siècle, il a pendant quelques années pratiqué la sociocritique des textes, comme en témoignent ses deux précédents ouvrages : La bataille des mémoires (2006) et L'Amérique selon Sartre (2013; Prix du Canada en sciences humaines). Le cétacé et le corbeau, qui marque son entrée dans le domaine des études québécoises, est son premier essai littéraire.
Simon Harel est professeur titulaire au Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal. Il est directeur du Laboratoire sur les récits du soi mobile, codirecteur du Centre de recherche des études littéraires et culturelles sur la planétarité. Coresponsable du Catalyseur d’imaginaires urbain, une infrastructure de recherche-création située sur le site du Campus MIL de l’Université de Montréal, il conçoit, anime et diffuse en collaboration l'événement Ceci n'est pas un festival né dans le Mile-Ex, au carrefour des cultures migrantes installées à Montréal. Depuis quelques années, Harel propose des essais-fictions qui font place à la subjectivité du chercheur, dans une réflexion mettant en cause les lieux communs de l’identité. Directeur d’ouvrages collectifs, auteur de nombreux essais, écrivain, responsable de numéros de revues, il a plus de cinquante publications à son actif.
Cynthia Harvey est professeure de littérature à l’Université du Québec à Chicoutimi depuis 2005. Ses recherches et publications portent sur la littérature française du XIXe siècle, la sociologie du texte, les rapports de la littérature et de la philosophie et l’écriture des femmes. Elle est présidente de l’Association canadienne des études francophones du XIXe siècle depuis 2017.
Barbara Havercroft est professeur au Département d'études françaises et au Centre de littérature comparée à l'Université de Toronto. Elle est l'auteure de nombreuses publications sur les écrits autobiographiques français et québécois contemporains (en particulier, au féminin), sur la sexuation de l'écriture, sur la rencontre entre postmodernisme et féminisme, sur les théories de l'énonciation et sur la littérature de l'extrême contemporain.
Annette Hayward est professeure agrégée à l'Université Queen's, à Kingston. Elle s'intéresse particulièrement aux questions d'institution littéraire et à l'écriture québécoise au féminin.
Née en 1991, Amélie Hébert est titulaire d’une maîtrise en littératures de langue française de l’Université de Montréal. Elle est l’autrice de plusieurs textes de fiction et de poésie parus en revue (Exit, Le Pied, Mœbius, MuseMedusa) ainsi que du recueil de poèmes Les grandes surfaces (Le lézard amoureux, 2018), où elle s’intéresse aux notions de territoire et d’appartenance. Elle enseigne la littérature et le français au Cégep Vanier ainsi qu’à l’École de langues des Forces canadiennes. Elle réside à Longueuil. Elle est à la fois taureau et chèvre, mais souhaiterait par-dessus tout être un chat. Cheptel est son deuxième livre.
Né à Montréal en 1946, François Hébert a obtenu son doctorat à l'Université d'Aix-Marseille en 1972 pour ses recherches sur André Malraux. Il a enseigné les littératures française et québécoise, et animé des ateliers d'écriture à l'Université de Montréal.
Pierre Hébert est professeur de littérature québécoise au Département des lettres et communications à l'Université de Sherbrooke. Il travaille depuis plusieurs années sur la censure littéraire au Québec.
Robert Hébert est écrivain, philosophe expérimental. Penseur inclassable, il compose depuis quarante ans une œuvre unique dans les mondes des lettres et des idées au Québec. Monsieur Rhésus est son dixième livre.
Auteur-compositeur-interprète, THOMAS HELLMAN compte sept albums à son actif qui lui ont valu de nombreux prix. Ses spectacles sont reconnus sur la scène internationale pour leur forme unique, à mi-chemin entre le théâtre, le concert et la littérature orale. Il a publié des poèmes, des nouvelles et des essais dans plusieurs ouvrages collectifs et revues littéraires. Il est également conteur, conférencier et chroniqueur. Mythomane, son nouveau spectacle mis en scène par Michel Faubert, est disponible sous forme d’album. Il est inspiré de ses capsules mythologiques présentées à l'émission Dessine-moi un dimanche (Radio-Canada) et reprises en balados. Ce livre accompagne la magie de l’expérience scénique.
© Mathieu Rivard
À partir d'une petite île du Pacifique sud jusqu'à l'île de La Réunion, en passant par Vancouver et Montréal, Pascale Hermann, sous ces divers horizons, a écrit Ravine des pluies, son premier recueil de poésie.
Benjamin Hertwig est écrivain, peintre et céramiste. Il a grandi dans les Prairies et vit actuellement sur le territoire non cédé des Salish du littoral, à Vancouver. Depuis la fin de ses études secondaires, il a été tour à tour soldat, coursier à vélo, planteur d’arbres et professeur d’anglais. Slow War (titre original, McGill-Queen’s University Press, 2017), son premier recueil de poésie, a été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général.
Écrivaine et artiste multidisciplinaire, Julie Hétu reçoit en 2011 le Prix du public de l’association La plume de Paon pour son livre audio Baie Déception (Planète rebelle). En 2014 elle publie Mot (Triptyque, repris en format poche en 2019 chez Alias) et est finaliste au prix France-Québec ainsi qu’au prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec. En 2018 paraît Pacific Bell (Alto), roman inspiré d’un stage à La Nopalera, un ranch au Mexique où elle a appris à devenir saigneuse de cactus.
© Baptiste Dupuis-Hétu
Anne-Laure Hick est assistante à l'Université de Liège en littérature française des XIXe et XXe siècles dans le service dirigé par Jean-Pierre Bertrand. Elle poursuit une thèse de doctorat consacrée aux poèmes d'intérieur dans la littérature française des XIXe et XXe siècles.
Sébastien Hudon est historien de l’art, critique et directeur artistique de la Bande Vidéo au complexe Méduse à Québec.
Marcela Huerta habite et écrit à Montréal. Elle est la fière descendante de réfugié·es chilien·nes. Son travail s’intéresse à leurs histoires et aux histoires que racontent d’autres voix marginalisées. Tropico est son premier livre.
Marie-Noëlle Huet effectue présentement un doctorat en études littéraires à l'UQAM, sous la direction de Lori Saint-Martin. Sa thèse porte sur la maternité, l'identité et l'écriture dans la littérature française contemporaine des femmes, et plus particulièrement dans des textes d'Annie Ernaux, de Nancy Huston, de Christine Angot, de Marie Darrieussecq, ded Karine Reysset et d'Eliette Abécassis. Elle travaille à titre de secrétaire à la rédaction de la revue savante Voix et Images.
Erin Hurley est professeure de théâtre au Département d’anglais de l’Université McGill. Elle a notamment fait paraître Theatre & Feeling, Theatres of Affect, et rédigé de nombreux articles pour des revues scientifiques comme Theatre Research in Canada/Recherches théâtrales au Canada et L’Annuaire théâtral.