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Né à Montréal en 1956, José Acquelin écrit depuis l’âge de 17 ans. Tout va rien, son premier recueil de poésie, paraît aux éditions de l’Hexagone en 1987. Outre une trentaine de titres, de poèmes et de journaux, il a conçu et animé bien des soirées de lectures et de performances avec musiciens. Son recueil Anarchie de la lumière, publié aux éditions du passage, a obtenu le Prix de poésie du Gouverneur général 2014. Libertés de la solitude est le quatrième tome de ses journaux personnels, après L’orange vide (Les Intouchables, 1998), L’épluche-œil (42e Parallèle, 2004) et Paradoxes de la fragilité (Québec Amérique, 2007).

Née en 1989 à Shawinigan, Raphaëlle B. Adam est passionnée des littératures de l’imaginaire. Elle est détentrice d’un baccalauréat en études françaises de l’Université du Québec à Trois-Rivières et d’une maîtrise en création littéraire de l’Université de Sherbrooke. Lauréate du Prix Clément-Marchand en 2011, elle a publié des nouvelles noires et fantastiques dans plusieurs revues spécialisées (Alibis, Brins d’éternité, Clair/Obscur, Nyx, Solaris) et dans les collectifs Les Murmurantes et À l’Est de l’Apocalypse (éditions Les Six Brumes). Elle collabore comme critique littéraire à la revue Brins d’éternité et à l’émission de radio le Cochaux Show. Elle réside à Sherbrooke, où elle travaille en tant que responsable de la programmation et des communications au Salon du livre de l’Estrie.

 

© Marianne Deschênes

Née en Corée du Sud en 1983, Manuelle Alix-Surprenant a été adoptée par une famille québécoise. Elle a cofondé L’Hybridé, un organisme à but non lucratif pour les personnes adoptées. Elle est la première personne adoptée à siéger au comité de concertation du Secrétariat à l’adoption internationale du gouvernement du Québec. Elle est candidate à la maîtrise en anthropologie à l’Université de Montréal.

 

© Youssef Shoufan

 

Camille Allaire est née à Montréal en 1979. Elle a publié des nouvelles et de la poésie dans diverses revues littéraires (XYZ, Estuaire, EXIT et Lapsus dont elle a été la rédactrice en chef). Détentrice d’une maîtrise en création littéraire de l’Université du Québec à Montréal, elle enseigne la littérature au collégial.
Elle a fait paraître en 2010, aux éditions Triptyque, le recueil de nouvelles Celle qui manque.

Émilie Allard vit et travaille à Montréal. Artiste et poète, elle partage ses élans entre les mots, la sculpture, les images et les humains. Sa pratique visuelle solo ainsi que sa pratique en collectif ont fait l’objet d’expositions et de performances au Centre Clark, au Festival international de la littérature, à Arsenal art contemporain et à Espace Projet, entre autres. Elle a publié Carbone scopique au Lézard amoureux en 2021.
 
© Autoportrait 
 

Historien des idées et théoricien de la rhétorique, Marc Angenot est docteur en philosophie et lettres de l'Université libre de Bruxelles. Il est depuis 1967 professeur à l'Université McGill. Il est l'auteur de plus de 160 livres, cahiers de recherche et contributions à des ouvrages collectifs. Il a été nommé en 2001 à une chaire de recherche, le James McGill Professorship d'étude du discours social; il en demeure le titulaire à titre émérite. Il est membre de l'Académie des arts, des lettres et des sciences humaines, l'une des composantes de la Société royale du Canada. Il en a été, entre 2012 et 2014, le directeur de la Division des lettres et sciences humaines. Le Prix du Québec Léon-Gérin lui a été décerné en 2005 pour l'ensemble de son oeuvre. Il était titulaire en 2012 de la Chaire Chaïm-Perelman de rhétorique et d'histoire des idées à l'Université libre de Bruxelles. 

Avocat et écrivain, François-Réal Angers (1812-1860) est aussi l'auteur de quelques poèmes et de traités juridiques. Secrétaire des débats à l'Assemblée législative de Québec et coéditeur de la Revue de législation et de jurisprudence, il fut également le président de l'Institut canadien de Québec.

Sayaka Araniva-Yanez est un·e artiste latinx multidisciplinaire, originaire du Salvador, basé·e à Tio'tia:ke/Montréal. Libraire-cogestionnaire de l’Euguélionne, Sayaka explore des sujets d’écriture variés: la gloutonnerie, les talismans, les voyages dans l’au-delà, le carnavalesque. Plusieurs de ses textes sont parus en revue et dans des collectifs. Ses œuvres numériques ont été exposées internationalement. Je regarde de la porno quand je suis triste est son premier livre.

© Justine Latour

Marie-Christine Arbour vit à Montréal. Elle a publié des nouvelles dans plusieurs revues, ainsi que les romans Deux et Deux (Planète rebelle, 2000), Une mère (Pleine Lune, 2008) et, chez Triptyque, Drag (2011), Utop (2012), Chinetoque (2013), Schizo (2014) et Trans (2016).

Paul Aron est directeur de recherches au FNRS (Belgique) et il enseigne à l’Université libre de Bruxelles. Il a publié plusieurs ouvrages sur la littérature belge, et il a co-dirigé, avec Alain Viala et Denis Saint-Jacques, le Dictionnaire du littéraire (Paris, PUF, 2004 en collection « Quadrige »).

Mathieu Arsenault a publié Album de finissants et Vu d'ici, tous deux adaptés au théâtre. Il a aussi publié un essai, Le lyrisme à l'époque de son retour, et a tenu un blogue, Doctorak GO!. Il a fondé l'Académie de la vie littéraire qui remet chaque année des prix à ceux qui n'en auront pas ailleurs, puis a fabriqué des t-shirts qu'il a vendus sur sa boutique en ligne. Il est également chroniqueur pour la revue Liberté. Son dernier livre, La vie littéraire, est paru au Quartanier au printemps 2014.

Professeur de littérature au Cégep Marie-Victorin à Montréal, Guillaume Asselin a été membre du comité de rédaction des Cahiers littéraires Contre-jour pendant une quinzaine d’années.  Auteur de plusieurs essais et textes de création publiés en revue, il a notamment codirigé les collectifs Puissances du verbe. Écriture et chamanisme (VLB, 2007) et Hommes de paille, récits de paille. La dissimulation dans la littérature (VLB, 2014). Bunkers est son premier livre.

 

© Annie Royer

La poésie de Margaret Atwood, tout comme ses romans et ses nouvelles, est connue et appréciée dans le monde entier. Son premier recueil, The Circle Game (Le cercle vicieux) a remporté le Prix du Gouverneur général en 1966 et son livre de poésie Morning in the Burning House (Matin dans la maison incendiée) a obtenu le prix Trillium en 1995.

Auteure de plus de quarante œuvres incluant romans, nouvelles, poésie, essais et livres pour la jeunesse, Margaret Atwood a reçu les plus grands honneurs et les prix les plus prestigieux au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans plusieurs autres pays.

Margaret Atwood vit à Toronto.

Depuis plus de treize ans, David Auclair travaille comme enseignant spécialiste des mathématiques auprès d’enfants éprouvant des difficultés ou des troubles d’apprentissage. Doctorant en sociologie de l’éducation depuis 2012, il est également le fondateur et le directeur de l'organisme Éducamonde, créé en 2008.
 
 Francine Audet et Jean Laforest sont des globe-trotters expérimentés. Grands amateurs de plein air, de vélo et d’escalade, ils ont roulé leur bosse de Death Valley aux contreforts de l’Himalaya en passant par l’Amérique du sud (où ils ont longuement séjourné), la Côte d’Ivoire et la Malaisie. C’est de leurs erreurs qu’ils ont appris – sans guide – à devenir voyageurs indépendants. C’est leur expérience qu’ils nous offrent.
 

René Audet est professeur titulaire au Département des littératures de l'Université Laval et directeur du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ), site Université Laval.

Manon Auger est chercheure autonome. Elle a travaillé sur le genre diaristique québécois dans ses aspects historiques et poétiques.

© Audrée Wilhelmy