Savard, Virginie, Formes subtiles de la fuite, Éditions Triptyque, Poèmes, 2020, 96 p. Prix : 16,95 $ ISBN : 978-2-89801-089-7 Formes subtiles de la fuite dresse des listes sans hiérarchie, brosse le portrait d’un corps déformé par l’angoisse, et dépeint les murs d’une maison inhabitable. De cendres en incendies, on avance à tâtons dans un univers hostile, peuplé de bruits et de gens sans visage. Le réel est un calcul de probabilités où s’empilent les états et les saisons. La dépression veille, mais le cœur, pourtant, s’obstine à battre encore, d’une cadence déréglée. * je me retourne à l’intérieur de ma peau me heurte aux limites de mes pieds je ne me reconnais pas dans mes propres organes j’habite mon corps comme on emprunte les vêtements d’un autre pour repartir chez soi à l’aube Disponible en format papier et numérique dans toutes les bonnes librairies près de chez vous. Critiques de l'ouvrage : «Formes subtiles de la fuite» : Virginie Savard et la survie | Le Devoir Formes subtiles de la fuite, de Virginie Savard : écrire avec le corps | Plus on est de fous, plus on lit! Les filles satellites | Lettres québécoises Lectures d'été 2020 | Poésie | Radio-Canada.ca Mention par Mario Cloutier | La Presse Se dérober pour exister | La Recrue Lecture de Martine Lévesque | Les mille et une pages LM Le 12 août, j'achète un livre québécois : l'année de l'achat éthique | Urbania